Pluie qui tombe derrière mes carreaux
Tu ressembles trop à mon esprit
Tu ruisselles lentement sur Paris
Comme mon coeur pleure sur ma peau.
Tu vides les rues, mouilles le passant
Tu ris d'un parapluie retourné
Mon visage est trempé
Il vaut mieux t'accuser en riant.
Mes yeux embués par ton eau,
Tes gouttes coulent sur mon visage,
J'offre mon coeur au vent de passage
Pour qu'il sèche ma peau.
Quand une bourrasque te chasse
Tu t'attardes, tu pars à regret
Tu attristes la ville, détruit sa quiété,
Comme la peine envahit ma vie lasse.
Mes yeux sont un torrent de larmes
Ce n'est plus la pluie, je vais pleurer.
Le vent qui souffle me fait frissonner.
Il me protège, je suis sans arme.
Pluie il va falloir nous laisser.
Place au soleil et à sa chaleur.
Il séchera ma peine et mes pleurs.
Pluie, tu pleures ?
Tu ne me fais plus d'effet.
Paris octobre 1974
Tu ressembles trop à mon esprit
Tu ruisselles lentement sur Paris
Comme mon coeur pleure sur ma peau.
Tu vides les rues, mouilles le passant
Tu ris d'un parapluie retourné
Mon visage est trempé
Il vaut mieux t'accuser en riant.
Mes yeux embués par ton eau,
Tes gouttes coulent sur mon visage,
J'offre mon coeur au vent de passage
Pour qu'il sèche ma peau.
Quand une bourrasque te chasse
Tu t'attardes, tu pars à regret
Tu attristes la ville, détruit sa quiété,
Comme la peine envahit ma vie lasse.
Mes yeux sont un torrent de larmes
Ce n'est plus la pluie, je vais pleurer.
Le vent qui souffle me fait frissonner.
Il me protège, je suis sans arme.
Pluie il va falloir nous laisser.
Place au soleil et à sa chaleur.
Il séchera ma peine et mes pleurs.
Pluie, tu pleures ?
Tu ne me fais plus d'effet.
Paris octobre 1974
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