mercredi 31 décembre 2008

Bonne Année 2009

Puisse cette année 2009 s'ouvrir dans la Conscience de l'Amour

Quand les hommes vivront d'Amour

Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous, nous serons morts mon frère

Quand les hommes vivront d'Amour
Ce sera la paix sur la Terre
Les soldats seront troubadours
Mais nous, nous serons morts mon frère

Dans la grande chaîne de la vie
Où il fallait que nous passions
Où il fallait que nous soyons
Nous aurons eu la mauvaise partie

Quand les hommes vivront d'Amour
Il n'y aura plus de misère
Peut-être song'ront-ils un jour
A nous qui serons morts mon frère

Mais quand les hommes vivront d'Amour
Qu'il n'y aura plus de misère
Peut-être song'ront-ils un jour
A nous qui serons morts mon frère

Nous qui aurons aux mauvais jours
Dans la haine et puis dans la guerre
Chercher la paix, chercher l'Amour
Qu'ils connaîtront alors mon frère

Dans la grand' chaîne de la vie
Pour qu'il y ait un meilleur temps
Il faut toujours quelques perdants
De la sagesse ici-bas c'est le prix

Quand les hommes vivront d'Amour
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous, nous serons morts mon frère

Quand les hommes vivront d'Amour
Ce sera la paix sur la terre
Les soldats seront troubadours
Mais nous, nous serons morts mon frère
Raymond Lévesque

mercredi 24 décembre 2008

Joyeux Noël dans la Paix et l'Amour




Le Père Noël n'est pas une ordure

Je suis au milieu de la foule, la neige fond, grise, sale sur les trottoirs où les gens se pressent à cette heure tardive ; magasin pleins de lumières des guirlandes qui pendent pour inviter les derniers acheteurs du cadeau oublié.

Je n’ai pas la joie à me gaver de cette éternelle dinde farcie aux marrons, elles me glacent ces traditions, m’obligeant à réveillonner, parce que c’est, le, repas de famille annuel.

Et si au lieu de m’asseoir au milieu de ces convives qui se croient obligés de se sourire pour un soir, au milieu des cristaux pleins de champagne, de l’argenterie brillante sortie de ses tiroirs pour l’occasion, j’allais festoyer dans la rue, avec mes copains les Sans Domicile Fixe, eux qui n’auront pour étrennes que le sourire des passants qui oseront leur souhaiter une bonne soirée.

Et si je volais le traîneau du Père Noël, qui m’emmènerait loin de ces ripailles, laissant les santons seuls dans leur crèche au pied du sapin, pour distribuer des cadeaux d’espoir à tous ceux qui n’ont rien, ou plus rien.

Le Père Noël est là, il m’a entendu, je n’aurai pas à voler sa cargaison, il m’emmène, ses cerfs galopent, se fraient un couloir au milieu des gens qui se dépêchent et, paquet après paquet enrubanné, nous offrons aux gens de la rue ces cadeaux d’un soir, afin qu’ils puissent eux aussi, recevoir.

Selon la consigne de Autour des mots

"Cette période comporte sa part de Magie et est favorable aux Miracles… car qu'est-ce qu'un Miracle si ce n'est la Magie d'un cœur qui s'ouvre ?

Cette période est propice aussi aux rêves… car en chacun sommeille encore le cœur de l'enfant. Or, le rêve porte, le rêve transporte… Prenez juste soin de ne pas les éteindre trop vite. Faites vivre vos rêves !

Oui, tout prend sa place et la Nouvelle Vibration a entamé son battement de cœur.Alors, Hommes, soyez prêts à vous lever pour suivre le Nouveau Son !
Allelouhya !"

Xya (Noël 2005) Dans la Lumière

samedi 20 décembre 2008

Au nom de l'Amour, comment vous croire ?

La Ronde des Forces, dessin de "Nous", Iloha, Lughini, Zhylandhia

A vous mes sœurs,

Comment vous croire mes sœurs vous qui m’avez tant dit tout au long de mes vies que seul l’Amour sauve ?

Comment vous croire mes sœurs vous qui vous déchirez pour une blessure si vieille ?
Comment vous croire mes sœurs vous qui parlez d’Amour mais ne pouvez entendre mon cri d’incompréhension depuis que vous vous déchirez ?
Comment vous croire mes sœurs vous qui demandez réparation au nom du Dieu Amour ?Comment vous croire mes sœurs vous qui laissez place à l’ombre qui rode et qui se gave de vos déchirures, se nourri de vos blessures, et va passer les fêtes bien au chaud de vos rancœurs d’âmes blessées ?
Comment vous croire mes sœurs, puisque l’Amour déchire encore et encore ?
Comment vous croire mes sœurs, puisque tout ce que vous m’avez murmuré pour me faire comprendre que j’étais dans le noir du non Amour, alors qu’au nom de l’Amour vous vous blessez ?

Comment vous croire mes sœurs si vous pensez que vos âmes sont encore capables de trahison, alors qu’elles ont été lavées par le Feu ?
Ce Feu que j’ai refusé, ce Feu qui lave et donne l’Amour pour ne plus jamais revenir en arrière ? Comment vous croire mes sœurs si vous pensez que l’âme peut revenir sur ses traces, sur ses traîtrises, sur ses vies si noires qu’elle s’en est perdue ?

Comment vous croire et vous suivre mes Sœurs, puisque si, moi Xenahe la traître je veux aller dans le Feu, vous me montrez que cela ne sert à rien et que je pourrais encore vous trahir et vous haïr, au nom de ce même Amour que vous me demandiez ?

Alors, au nom de cet Amour qui vous a réuni, vous trois mes sœurs, cessez de vous déchirer et de vous lancer des armes qui brûlent les cœurs et tuent.
Au nom de cet Amour que vous clamez cessez de cultivez votre colère qui gronde.
Au nom de cet Amour qui vous a Ré-Unies, je vous demande de vous réconciliez pour que l’Amour Soit réellement et ne laisse pas vos cœurs se durcir au nom d’une querelle si vieille, si vieille, qu’il serait temps de la voir et de l’oublier.

Comment croire en l’Amour, moi, Xenahe la noire, si vous qui vous Aimez vous déchirez ?

Si je les croise ces âmes en peine, je leur dirai que l’amour Est malgré les maux de l’âme qui leur promet que nourriture terrestre en ces temps de festivité.

Si je les croise je leur dirai que je vous ai vus vous aimer, que je vous ai vus Unis, au nom de l’Amour.
Si je vous croise je vous dirai qu’au nom de cet Amour, vous devez aller vers ce qui Est et non pas ce qui était.

Au nom de nos vies de toutes celles qui nous ont déchirées, de tout ce que moi, j’ai fait, au nom de ce non Amour que je vous refusais, soyez, vous, dans l’Amour, pour que l’ombre ne gagne pas et qu’en fin nous soyons Ré-Unies dans l’Amour qui nous ai demandé.

Si je les croise Iloha, je ne pourrai qu’être triste de tout ce que je vois, spectatrice déchirée qui ne comprends pas ce que l’Amour et votre Union ont fait de vous, aujourd’hui.
Xenahe/Faldona

samedi 13 décembre 2008

Humus, Homme, Humilité, Terre

Dessin de "Nous" Zhylandhia, Iloha, Lughini


Retrouvons notre Humus intérieur, pour retrouver Gaïa avec humilité, nous qui sommes devenus infertiles en ne la nourrisant plus de notre Amour d'Origine.

Humus, son étymologie : le mot latin humus désignant la terre est cité par Curtius (Ier siècle ap. J.-C.) comme provenant d'un mot grec signifiant « à terre », locatif d'un substantif hors d'usage.En réalité, le mot latin humus, comme d'ailleurs le mot homo "homme", provient de la racine indo-européenne *ghyom- qui signifiait terre.

Humus : terre fertile

Par extension, humus est devenu l'adjectif humanus, littéralement de la terre, d'où qui concerne le genre humain.

Humanus nous a également donné homuncule : ce pauvre petit homme... Qui a perdu ses racines, son lien la terre, à force de bétonner son environnement, de taillader la planète de routes et autoroutes bien lisses... Il n'y pousse plus que buildings et bidonvilles.
Sans l'humus, pas de genre humain, car pas de végétaux.
Et sans l'humus, pas de racine.
Agnès Allart


Le terme humilité est à rapprocher du mot humus, qui en est la source étymologique, et qui a donné par ailleurs le terme homme. Cela semble signifier que l’humilité consiste, pour l’homme, à se rappeler qu’il est poussière (ou littéralement : « fait de terre », c’est-à-dire de la matière la plus commune).

Cela semble indiquer aussi que l’humilité est une attitude proprement humaine : et de fait, si l’homme n’est pas le seul être dont on puisse dire qu’il fut tiré du limon, il paraît bien être le seul à le savoir.Mais du coup, il est aussi le seul à pouvoir l’oublier — et pire : à vouloir l’oublier. Au-delà de l’image du matériau (terre, humus), le terme d’humilité renvoie en effet à l’idée d’une provenance étrangère, d’une impuissance à être sa propre origine ; il paraît impliquer aussi, du même coup, l’idée d’une incapacité à s’accomplir par ses seules forces ; en un mot, il s’agirait d’avouer qu’il n’est rien en nous, hormis peut-être nos fautes et nos manquements, que nous puissions nous attribuer à nous-même, à nous seul. Or cette double impuissance n’est pas facile à admettre ; elle semble, à certains, incompatible avec la dignité de l’être humain, et sa reconnaissance constituerait à leurs yeux une intolérable humiliation.
Référence texte : http://philo.pourtous.free.fr/Atelier/Textes/humilite.htm

lundi 8 décembre 2008

La tribu des Omos

Aux confins de l'Ethiopie, à des siècles de la modernité, Hans Sylvester a photographié pendant six ans des tribus où hommes, femmes, enfants, vieillards sont des génies d'un art ancestral. Ils ont le génie de la peinture, et leur corps de deux mètres de haut est une immense toile. Ils dessinent mains ouvertes, du bout des ongles, parfois avec un bout de bois, un roseau, une tige écrasée.
Pour pouvoir écouter la musique de cette vidéo, ne pas oublier de mettre sur pause, la musique du blog, en haut à droite.

dimanche 7 décembre 2008

Etablissements Pénitentiaires pour Mineurs

Maison de correction : lieu où l'on enferme les enfants mineurs qui doivent subir un emprisonnement ou dont on veutréformer le caractère indiscipliné

APPEL A PETITION POUR LA FERMETURE DES
Etablissements Pénitentiaires pour Mineurs

vendredi 5 décembre 2008

Liberté

La liberté nous rendra libre
Saint Jean



mardi 2 décembre 2008

C'est un hold-up


Moi l’ennemi public numéro 1 de la finance, je tiens en joug des otages.

Invité surprise au milieu de tout ce gratin en habit noir de pingouin, je dénote.
Les banquiers ne connaissent pas la crise, c’est bien connu. Font péter les bouteilles de champagne sans vergogne ; moi, je préfère le crépitement des balles d’un bon pistolet magnum, aux pétillements des bulles des taux d’intérêt qui s’élèvent dans la récession.

Je ne suis pas suicidaire, pas de carnage, juste leur faire les poches dans la douceur. Avec le sourire, j'ai remarqué, ils aiment bien sourire les banquiers quand ils veulent notre fric.
En bas dans les garages, je suis attendu, ce soir nous organisons un contre-banquet, pour aider ceux qui travaillent.
Pour cela on a besoin de tunes, chaque mois, on cible une de leurs réunions, et moi, le pirate des gros sous, je fais les poches.
Un courtier nous place le magot, il est dans les crackers, enfin c’est ce qu’il dit.

Il achète le matin, il téléphone à ses copains et hop, vend le soir ; enfin du profit pour la pauvreté !
A ce rythme là, on va finir par ouvrir une banque, pas en France, qu’il nous a dit, dans une île lointaine. Savais pas qu’il y a avait des banques dans les îles, mais, c’est lui qui sait.

- Eh, toi là bas, mets pas ton pognon dans ta chaussette, j’tai vu.

Selon la consigne de autour des mots