vendredi 31 décembre 2010

Nouvelle année

Gardons toujours la flamme qui est en Nous
Paix dans les Coeurs
Belle et lumineuse nouvelle année 2011 dans la Joie et l'Amour

vendredi 24 décembre 2010

Joyeux Noël

Paix, Amour et Joie à tous


Halleluiah du Messie de Haendel

dimanche 19 décembre 2010

Pour Eux































et toux ceux qui seront seuls ou très isolés dans ces moments qui devraient être réunions.
Que notre Lumière puisse réchauffer ceux qui ont froids.
Que Notre amour puisse offrir à tous ceux qui sont en manque, cet Amour qui Est toujours.

Merci à tous ceux qui oeuvrent pour Eux.


Vent qui souffle dans les arbres, vent qui souffle toujours
Apporte ta caresse apaisante à nos coeurs
Que nos larmes soient séchées par l'amour
Amené par le tourbillon généré par le Créateur
Que le chant du Grand Esprit
Soit entendu par tous ceux qui le vénèrent
Venant du haut des montagnes, où l'aigle vit
Enveloppant de bonheur notre Mère Terre
Vent du Grand Esprit bruisse ta chanson
Comme le soupir des anges du Ciel
Pour que chaque coeur chante à l'unisson
Dans chaque vallée éclairée de soleil
Soyons en paix et dans la foi
Blottis dans les bras protecteur de notre Terre
Le vent du Grand Esprit est là
Pour faire s'envoler notre misère

Adapté et traduit de Spirit of the Wind de Bonnie Ray

lundi 13 décembre 2010

Sainte Lucie


Très bonne fête de la Lumière.

Belle journée lumineuse à tous.

vendredi 19 novembre 2010

Paix


Paroles d'une chanson écrite et interprétée par catherine Ribeiro en 1972.

Paix à celui qui hurle parce qu'il voit clair
Paix à nos esprits malades, à nos coeurs éclatés
Paix à nos membres fatigués, déchirés
Paix à nos générations dégénérées
Paix aux grandes confusions de la misère
Paix à celui qui cherche en se frappant la tête
Contre des murs en béton

Paix au courroux de l'homme qui a faim
Paix à la haine, à la rage des opprimés
Paix à celui qui travaille de ses mains
Paix à cette nature qui nous a toujours
Donné le meilleur d'elle-même
Et dont chaque homme, quel qu'il soit, a besoin

Paix à nos ventres, grands réservoirs de poubelles académiques
Paix à vous mes amis, dont la tendresse m'est une nécessité
Paix et respect de la vie de chacun
Paix à la fascination du feu, paix au lever du jour
A la tombée de la nuit
Paix à celui qui marche sur les routes
Jusqu'aux horizons sans fin

Paix au cheval de labour
Paix aux âmes mal-nées qui enfantent des cauchemars
Paix aux rivières, aux mers, aux océans qui accouchent
De poissons luisants de gas-oil
Paix à toi ma mère, dont le sourire douloureux
S'efface auprès de tes enfants
Paix enfin à celui qui n'est plus et qui toute sa vie
A trimé attendant des jours meilleurs

Paix, paix...

vendredi 5 novembre 2010

Côme, ce 12 décembre1838



Ma chère, ma très chère Clara,

Votre envoi m’a comblé, une photo et votre partition. Quel surprise vous me faites là, de m’offrir avant que vous ne le jouiez, ce nocturne.
Merci, de ce cadeau, vous ne pouviez que me combler de bonheur.
Je l’ai chantonné, je l’ai joué et rejoué, en vous imaginant au piano, légèrement penchée, comme j’aime à vous voir ainsi, comme j’ai hâte de vous écouter.

Vous paraissez triste, si triste, mais Clara, cette séparation ne pourra durer plus, Clara ma bien aimée, je pense chaque minute d’une journée qui passe, à vous. Et là, par votre musique, je peux me rapprocher de vous. Je suis heureux de cela.

Je sais par notre ami Walter que votre dernier concert a été non seulement très apprécié, mais aussi un réel succès.
Je vous imagine debout près du piano, remerciant avec votre sourire timide.

J’ai hâte de pouvoir rentrer, même si c’est à Vienne, je me rapproche de vous, je suis bien décidé à braver votre père afin de l’obliger à consentir à notre mariage.

Je suis entrain de finir les Kreslriana et travaille sur une sonate, je vous en parlerai lorsque je serai plus avancé.

Le lac est calme ce matin mais si noir, aussi noir que mon âme, mais de ma fenêtre, j’aime à m’y perdre dans ce lac, comme je voudrai me perdre dans l’eau de vos yeux.
Hélas, je n’ai que cette photo et vous paraissez si triste, ne le soyez pas, bientôt, très bientôt nous serons de nouveau ensembles.

Je reprends votre photo après avoir relu votre Nocturne et remis du bois, ce temps froid et humide me contraint à l’enfermement.
J’ai pleuré Clara, oui, j’ose vous l’écrire, j’ai pleuré, mais ce sont des larmes de bonheur et de joie, parce que votre musique me comble et je vous aime.

Au travers de votre sourire, oh, bien léger bien sûr, je sais que se cache votre amour. Mais, comment auriez-vous pu face à ce photographe, être gaie ? En plus, vous me dites que votre père vous accompagniez.
Quel chaperon votre père, vous n’avez plus aucune liberté !
Je comprends mieux votre regard nostalgique, puisque vous me dites que votre père vous fait partir pour Dresde.
Vous punir, nous punir, mais, vous le savez Clara, notre amour sera plus fort que son vouloir de père.

Souriez Ma Clara, demain est si proche après ces années. Composez encore, c’est ce qui nous réunis, ces notes.
Soyez forte, et n’oubliez pas que je vous aime mon amie.

Votre bien aimé Robert.
Selon la consigne de Kaléïdoplumes ici

Dis Maman

- Dis maman, pourquoi la terre est ronde ?
Elle est ronde pour ne pas nous blesser lorsque nous marchons, ronde pour permettre de danser autour d’elle une farandole multicolore de tous les enfants qui vivent à l’intérieur de son cœur ; ronde pour ne jamais tomber lorsque nous voyageons ; nous pouvons partir d’ici, et marcher, marcher en en faisant le tour, et hop, nous reviendrons ici.

-Dis maman, pourquoi le ciel est bleu ?
Le ciel est bleu parce qu’il a choisi la couleur des mers et des océans un jour de grand soleil. Il s’est dit, j’aime bien ce bleu et j’aime bien le blanc de ses vagues. Il a aussi choisi le blanc pour ses nuages.

- Dis maman, pourquoi le soleil se lève toujours du même côté ?
Clément, nous avons tous nos petites habitudes. As-tu remarqué que tu te lèves le matin toujours du côté de la fenêtre de ta chambre, à gauche donc ? Le soleil a choisi de toujours se lever du même côté pour que chaque enfant sache, qu’il va se lever. Imagine si un jour le soleil se levait de l’autre côté, tu penserais, tiens le soleil est malade.

- Dis maman, pourquoi les arbres ont des racines ?
Les arbres ont des racines pour se tenir debout, boire, se nourrir. C'est comme toi mon bonhomme, si tu n'avais pas de pieds tu tomberais, si tu n'avais pas de bouche pour boire, tu dessécherais, si tu ne pouvais manger tu tomberais malgré tes pieds et ta bouche pour boire. Si l'arbre n'avait plus de racine, il serait couché, sans vie. Comme grand-père, lorsqu’il s’est couché et ne s’est plus jamais relevé.

-Dis maman quand est-ce qu’on mange ?
D'après la consigne de kaléîdoplumes ici

Jour de grève

- C’est encore bloqué !
Qu’ est-ce qui se passe monsieur l’agent ?
- Un accident, le tunnel s’est effondré au bout du couloir n° 5 et il faut déblayer. En plus grève aujourd’hui, les ouvrières manifestent une fois de plus, elles en ont assez de leurs conditions de travail.
- C’est certain, sortir de jour comme de nuit, qu’il fasse beau ou mauvais, pour pouvoir nourrir la Reine et sa suite qui ne fait rien.
- Vous ne faites pas grève ?
- Et non, pas les moyens, mon mari est handicapé, il a perdu trois pattes et une antenne à la dernière destruction de la fourmilière. C’était un courageux soldat mon mari. Rien, pas une récompense, pas une allocation. Des bouches à nourrir, si je fais grève, mes œufs vont dépérir.
- J’en connais aussi des soldats comme votre mari, ils ne touchent rien. La reine refuse de construire des foyers pour ses vaillants soldats qui doivent continuer à travailler.
- C’est sa suite royale qui ne veut pas, il se prépare une émeute, une rébellion parce que nos conditions de vie ne sont plus ce qu'elles étaient.
- J’en ai entendu parler. Paraît-il qu’il se prépare le déménagement de la fourmilière ?
- Oui, nous avons décidé de ne plus nourrir la suite de la Reine, de ne plus faire leur ménage. Ras les pattes de ces fourmis obèses qui se prélassent, se font nourrir par nous et nous traitent comme des esclaves.
- Mais vous ne pourrez plus vivre sans la Reine ?
- Nous changeons de continent, nous allons nous expatrier pour une autre fourmilière l’endroit est tenu secret.
Eh ! Attention, ne me bousculez pas, vous avez fait tomber mes pucerons !
- Bon faut que j’arrête de discuter, mes antennes frétillent, on m’appelle au bout du couloir pour faire circuler, ça fourmille trop. Je vais être à la bourre !
D'après la consigne de kalïdoplumes ici

samedi 23 octobre 2010

Pour René

Toi qui a tant roulé sur les routes, tu es parti ce matin pour un grand et beau voyage.

Pour ce départ tu n'as pas fait de bagage, tu es parti rejoindre les tiens, l'Amour, la Lumière, la Paix.
Une Vie merveilleuse commence pour toi.
Toi le routier tu viens de retourner à la Maison.
Mes plus belles pensées t'accompagnent.

Pour ceux qui sont dans la peine de ton départ, Amour pour les soutenir.

Prière Amérindienne

Quand je ne serai plus là, lâchez-moi !
Laissez-moi partir
Car j'ai tellement de choses à faire et à voir !
Ne pleurez pas en pensant à moi !
Soyez reconnaissants pour les belles années
Pendant lesquelles je vous ai donné mon amour !
Vous ne pouvez que deviner
Le bonheur que vous m'avez apporté !
Je vous remercie pour l'amour que chacun m'a démontré !
Maintenant, il est temps pour moi de voyager seul.
Pendant un court moment vous pouvez avoir de la peine.
La confiance vous apportera réconfort et consolation.
Nous ne serons séparés que pour quelques temps !
Laissez les souvenirs apaiser votre douleur !
Je ne suis pas loin et la vie continue !
Si vous en avez besoin, appelez-moi et je viendrai !
Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai là,
Et si vous écoutez votre coeur, vous sentirez clairement
La douceur de l'amour que j'apporterai !
Quand il sera temps pour vous de partir,
Je serai là pour vous accueillir.

mardi 5 octobre 2010

Les dix stratégies de manipulation de masses

Le linguiste nord-américain Noam Chomsky a élaboré une liste des « Dix Stratégies de Manipulation » à travers les média. Nous la reproduisons ici. Elle détaille l'éventail, depuis la stratégie de la distraction, en passant par la stratégie de la dégradation jusqu'à maintenir le public dans l'ignorance et la médiocrité.

PressenzaBoston, 9/21/10PRESSENZA Boston, 21/09/10

1/ La stratégie de la distraction

Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions

Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

3/ La stratégie de la dégradation

Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.

4/ La stratégie du différé

Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.

5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge

La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ». Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion

Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…

7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise

Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…

9/ Remplacer la révolte par la culpabilité

Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution!…

10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes

Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.

dimanche 5 septembre 2010

L'été est fini

L’été est fini.
Non c’est faux, ce n’est pas l’été qui est fini, ce sont les vacances.

Je n’ai pas fait ou défait de sac.
Je n’ai rendu visite à personne et personne ne m’a rendu visite.
Le train train pas toujours musical de cet été n’a en rien été troublé, si juste par mon trouble de passer encore un été vacant de vacance.

J’ai eu envie de vacances familiales, j’ai eu envie de vacances entre amis, j’ai eu envie de partir ne serai-ce qu’une journée, faut pas être trop gourmande.

Début septembre et c’est déjà la rentrée.
La rentrée de qui, de quoi ?
Je sais que les vacances sont terminées puisque tout le monde parle de rentrée. Je ne peux donc pas parler de rentrée, puisque si je rentre c’est que je suis sortie, rentrée de ? D’où ? De nulle part, puisque je suis restée..

Je n’ai pas de souvenir à partager, je n’ai pas envoyé de cartes postales, je n’ai pas téléphoné pour dire je suis bien arrivée, pour être arrivée, il faut être partie et je suis restée.

Je suis une voyeuriste des vacanciers, puisque je me repais de vos récits que je partage avec JOIE.
Bonne rentrée

A l’année prochaine les vacances

Selon une consigne de Kaléïdoplumes ici

mardi 27 juillet 2010


BWV 1065 de Jean Sébastien Bach

vendredi 23 juillet 2010

Les dauphins captifs

Photo appartenant à l'asociation SOS grand bleu
"Lorsque l’homme aura coupé le dernier arbre, pollué la dernière goutte d’eau, tué le dernier animal et pêché le dernier poisson, alors il se rendra compte que l’argent n’est pas comestible »(Chef amérindien Seattle, 1854).

10 bonnes raisons de ne pas se rendre dans un delphinarium
SOS Grand bleu

MESSAGE DU GRAND DAUPHIN BLANC

Je voudrais demander à nos frères de Lumière des nouvelles des dauphins car au Japon les massacres continuent. Ce peuple doit encore beaucoup souffrir. Je voudrais savoir ce que les dauphins ont à nous dire. Merci !

Ils me montrent une mer immense et le peuple des dauphins. Ils me montrent le merveilleux dauphin blanc que j’ai déjà perçu. Pour l’instant je n’entends rien, je ne fais que voir !

Le dauphin blanc s’approche maintenant de moi. C’est extraordinaire ! Je vois sa tête tout près de moi, cela me donnerait envie de pleurer, j’aurais envie de l’embrasser, de la caresser. Elle est très grande et très proche de moi. Je vois surtout ses yeux pleins de tristesse et d’Amour. Il me dit :

« J’avais dit que je reviendrais encore, mais pas très souvent, pour vous parler, mais ce soir vous m’avez invoqué, alors avec beaucoup de plaisir et d’Amour je viens communiquer avec ce canal.

Mon peuple souffre très grandement ! Il souffre non seulement des massacres que le peuple de la Terre lui fait subir, mais il souffre aussi beaucoup de tous les ultra sons qui le perturbent profondément. Il souffre également de la pollution de notre élément qui est la mer, et surtout des pensées des hommes. Nous sommes des êtres extrêmement réceptifs.

Nous vous avions dit que nous sommes bien plus que des poissons. Nous ne sommes pas des poissons ! Nous avons une intelligence et une conscience réelles. Lorsque vous aurez compris tout ce que vous nous faites subir, il sera trop tard pour vous, non seulement vous le regretterez mais vous subirez très grandement mais d’une autre manière ce que vous nous avez fait subir.

Nous aurions tellement pu vous aider ! Nous aurions pu communiquer avec vous ! Il était facile pour nous de vous apprendre la communication télépathique. Certains hommes ne peuvent pas avoir conscience de ce que nous sommes, leur vibration est beaucoup trop basse. Pour nous percevoir il faut avoir atteint la conscience spirituelle, tout du moins lorsque vous entrez en communication avec nous. Il faut aller au-delà de la conscience humaine.

Nous souffrons énormément, mais nos petits frères les phoques souffrent beaucoup plus que nous. Ce que vous leur faites subir est terrifiant ! Si seulement vous aviez conscience des dégâts que vous faites ! Le peuple de la mer sera obligé de demander que tout cela s’arrête. Comment pourra-t-il le faire ? En faisant intervenir son élément de vie ! Comprenez-vous ce que cela veut dire ? Sachez que vraiment nous ne le voulons pas ! Vous détruisez les baleines, vous détruisez les phoques, vous détruisez les dauphins, vous détruisez tout le peuple de la mer avec vos pêches sauvages ! Vous ne laissez de la chance à personne ! Vous êtes des prédateurs, des destructeurs, que ce soit pour les animaux de la terre ou ceux de la mer ! Le jour où vous vous rendrez compte de tout cela, moi le Grand Dauphin je vous le dis, il sera trop tard ! Vous ne pourrez plus faire marche arrière ! Vous subirez tout ce que vous avez semé ! A ce moment-là, il ne sera plus le moment de pleurer ! Vous récolterez tout ce que vous avez semé !

Nous, le peuple de la mer, tout au moins les grands mammifères, quitterons ce monde ! Nos âmes, car nous avons des âmes, iront sur des mondes qui peuvent les accueillir. Beaucoup d’entre nous sont déjà partis. Vous vous demandez pourquoi les grands cétacés viennent s’échouer sur vos plages. Il y a plusieurs raisons à cela. Beaucoup d’entre nous préfèrent la mort à ce que vous leur faites subir. Nous sommes un peuple extrêmement sensible et sensitif. Nous percevons télépathiquement tout ce qui se passe sur la Terre, et soyez certains que cela nous crée beaucoup de souffrance.

Pourtant, je vous le dis encore, nous aurions tellement pu faire de grandes choses ensemble ! Maintenant c’est terminé ! Il fut une époque bénie où nous avions un rapport très profond avec les êtres humains. Puis petit à petit, les êtres humains ont été pervertis et les rapports que nous avions avec eux ont pris fin. Certains de vos chercheurs ont compris que nous pouvons communiquer mais ne l’ont pas fait comme nous le souhaitons. Ils ont communiqué de la façon humaine. Ils ne pouvaient pas imaginer qu’avec un tout petit effort ils pouvaient communiquer télépathiquement avec nous.

Ce que vous ignorez, c’est que vous avez beaucoup de capacités et que vous ne savez tout simplement pas les utiliser. Vous ne pouvez pas imaginer qu’un être humain puisse communiquer avec ce que vous appelez un animal, car pour votre mental, pour votre intellect, cela est impossible. Cependant, même à votre époque, certains êtres plus sensitifs, plus réceptifs et avec un immense amour au cœur ont communiqué télépathiquement avec nous. Nous avons aussi pu sauver de la mort certains êtres qui avaient fait naufrage.

Maintenant nous vous disons de vous préparer à subir les conséquences de vos inconséquences. On ne peut pas impunément détruire la vie ! La loi de cause à effet s’applique toujours.

Maintenant nous n’espérons plus rien de la terre ! Vous continuerez encore à polluer les mers, vous continuerez encore à nous détruire, à nous manger.

Notre élément réagira. Maintenant, vous qui avez le cœur pur, je vous donne tout mon Amour. Je sais que vous ne pourriez absolument pas nous occasionner de nuisances, nous faire de mal en quoi que ce soit, que ce soit au-travers de vos pensées ou au-travers de vos comportements. Vous n’êtes pas encore suffisamment évolués pour communiquer télépathiquement avec nous ou d’autres espèces, mais sachez que cela viendra. Avant que nous quittions la terre entendez bien cela : nous avertirons certains hommes réceptifs des dangers immenses qu’ils courent par rapport au déchaînement de notre milieu, de l’océan.

C’est tout ce que nous pouvons faire pour vous ! Si vous êtes suffisamment réceptifs vous pourrez avertir vos frères. Sachez aussi que si vous les avertissez, très peu vous croiront. C’est dommage mais c’est ainsi !

Maintenant je vous dis au revoir. Moi et mon peuple vous aimons infiniment. Nous voudrions quand même vous dire ceci : ne soyez pas trop tristes, car nous comme vous vivons notre fin de cycle. Tout ce qui est sur ce monde se transformera. Nous aurions aimé vivre cette fin de cycle en plus grande unité avec vous et non détruits par vous. Allez en paix ! »

Du ciel à la terre

vendredi 16 juillet 2010

La transition

Dessin de Zéfyrane

Ne couvrez points vos têtes de cendres en entendant la vibration de la nouvelle terre ! Tout se prépare, la terre se pare, en silence, à donner à ses enfants l'opportunité d'accéder à un autre plan de conscience, de quitter cette dimension matérielle, pour devenir lumineux, être en pleine conscience de la vibration primordiale. Des êtres de grande Luminosité sont déjà en place, ils sont les phares, ceux qui apportent à ce monde la note nécessaire pour que tout puisse suivre le chemin de leur éveil. Nous, Messagers de l'Ere Nouvelle, travaillons avec tous ceux qui sont lucides de leurs responsabilités d'éveilleurs, car il est nécessaire que les hommes se réveillent à leur spiritualité. Soyez dans l'allégresse, car tout change, tout cherche l'ultime vibration, l'univers dans son entière conception s'affine, se modifie, la matière dense change sa construction interne, inlassablement elle se tend vers l'amour qui allégera sa vibration, qui fera palpiter son coeur plus vite, de plus en plus vite, changeant ses molécules lourdes en molécules plus lumineuses car radiantes. Certains de ces changements sont déjà visibles à votre regard, tout s'accélère, la terre, sa matière bouge, se fend, explose de plus en plus souvent, ceci sont les signes ! Certains d'entre vous n'y voient que du "naturel", il y a toujours eu des tremblements de terre, des explosions thermiques, mais ce qu'ils ne peuvent concevoir c'est que ce "naturel" ne fut jamais naturel, mais toujours mu par des Lois divines, vous êtes si étroits de conscience... Tout ce qui est de l'ordre de la physique, tout ce qui est pour vous d'ordre naturel, ordonné, n'est autre que régi par des Lois de toute éternité. Votre "naturel" est divin, et vous vous comportez comme ceux qui ont tout compris de cette science... Soyez humbles, car demain votre orgueil sera mis à l'épreuve ! Soyez prêts à vivre de grandes choses, soyez prêts à entendre la nouvelle vibration, à entendre que vous avez vécu jusqu'ici dans l'idée que la terre était sans vie propre, vous la soumettiez, certains de votre suprématie sur elle. Vous viviez de ses dons merveilleux sans la moindre parcelle de gratitude envers elle et par le Logo ! Si vous aviez été beaucoup plus reliés au divin, ce qui se prépare aujourd'hui aurait été vécu par toute l'humanité avec plus de sérénité, plus de douceur, car vos vibrations auraient accompagné la terre dans son changement vibratoire ! Vous n'auriez pas à subir les chamboulements qui s'annoncent, votre rôle aurait été tout autre... Alors, enfants chéris de cette terre, recentrez vos énergies, soyez unis, soyez Amour, cherchez votre vibration la plus haute, soyez de ceux qui éveillent leurs frères, soyez ceux qui accompagneront cette terre ! Par votre désir de compréhension, à force de hausser vos propres vibrations, vous contribuez à stabiliser les vibrations générales. Au plus les hommes s'éveilleront, au plus la transition se passera dans l'apaisement, dans la sérénité. Pas de peur, la peur indique la non compréhension du divin, soyez confiants et ouverts. La nouvelle vibration qui naît fera s'épanouir de nombreuses capacités spirituelles, la pensée sera de plus en plus créatrice, vos capacités seront accrues, tout sera plus intense ! Nous vous aimons dans la Lumière !

Paxual

Message reçu par Corinne en 2007

samedi 3 juillet 2010

Littérature ?

La littérature ?
N’est-ce pas un truc d’intellectuel ?
En fait c’est quoi la littérature ?
Littérature sous-entend lire.
Lire quoi ?
Lire qui ?
La littérature est-ce lire ou écrire ou les deux ?

Littérature un mot bien abstrait je suis sûre pour beaucoup de personnes.
Il n’y a pas de littérature sans auteur ou sans écrivain.
Auteur : Ecrivain, créateur d'un ouvrage.
Faut-il pour parler de littérature que l’auteur soit reconnu par ? Qui ?
La littérature enferme un auteur avant d’avoir ouvert son livre.
Il est classé, catalogué par siècle, par genre, par mode, par prix littéraire..
Cette littérature est étudiée, livrée à la décortication des profs qui veulent faire découvrir la bonne littérature à des élèves qui ne vont pas forcément accrocher.

La littérature n’existerait pas si il n’y avait pas ceux qui écrivent.
La littérature auparavant s’adressait à des personnes qui s’intéressaient à la lecture, ils faisaient partis de cercles, échangeaient leurs avis, et faisaient la renommée de l’auteur ou le démolissait.
Ils s’appelaient des intellectuels.

Aujourd’hui, il est possible de tout lire.
Alors, bonne ou mauvaise littérature ?
Chacun lit ce qu’il est capable de lire, ce qu’il cherche dans l’évasion d’un livre.
Le livre doit-il être un casse tête-méninges qui fait vendre à outrance des dictionnaires qui décryptent ce qu’a voulu dire l’auteur ?
La littérature donne des prix nobélisés ou pas, la liste est longue de ces prix littéraires qui consacrent un auteur et font des lecteurs. Le lecteur à tort ou à raison achète ce prix, forcément, il doit être bon cet auteur, il a eu un prix.

Littérature, cela me fait penser aux cours que nous avions en classe, décortiquer l’auteur, ce qu’il a voulu dire, ce que nous avons compris ou pas compris, et combien d’auteurs nous on barbés, endormis ?
Un monceau, un tas, un paquet d’auteurs.

L’essentiel n’est-il pas de lire ?
C’est peut-être cela la définition de : qu’est ce que la littérature ? Aimer lire, avoir le plaisir de lire pas grave si l’auteur n’est pas littératurisé.

Le monde peut fort bien se passer de littérature. Mais il peut se passer de l'homme encore mieux. Sartre
Savez-vous qui sont les critiques ? Les hommes qui ont échoué en littérature et en art Benjamin Disraeli

Il ne faut jamais faire de littérature, il faut écrire et ce n'est pas pareil. Christian Bobin
En littérature comme en amour, nous sommes toujours étonnés de ce que choisissent les autres André Maurois
En littérature, le ridicule ne tue plus ; il tire à cent mille exemplaires. Georges Elgozy
Chacun sait qu'il y a, de nos jours, deux littératures : la mauvaise, qui est proprement illisible (on la lit beaucoup). Et la bonne qui ne se lit pas. Jean Paulhan
La littérature est un grand mot, souvent utilisé avec emphase ; alors que c'est avant tout un rendez-vous qui nourrit chacun de nous. Benoît Poelvoorde
Texte écrit selon la consigne e Kaléïdoplumes ici

Au fond du lit

Pas enlevé les bigoudis
Depuis lundi
Au fond de mon lit, je lis
J’oublie

Ma vie s’est rétrécie
Sans lui je suis qui ?
Le canari s’arrondi
Vendredi ?

Aujourd’hui déjà samedi
Se fanent les pissenlits et les soucis
Au fond de mon lit, je me rétrécis
Il est midi

J’oublie tout sans lui
Le canari m’a souri
Un œuf dans son nid
La vie

Youpi demain dimanche
J’ai pas mis de I
Normal, j’ai presque fini
Ma poésie

J’ai ôté mes bigoudis
Brossé les tapis salis par l’oubli
Je me lève ragaillardie
Lui parti me reste le I
de
Je ris sans lui

Note de l'auteur : ce n'est pas une autobiographie, juste une poésie avec des rimes en I.
Texte écrit selon la consigne de kaléïdoplumes ici

Une déposition


- Depuis combien de temps il a disparu ?
- Qui chef ?
- C’est la femme à Gaston qui est venue hier ?
- A dû trop boire la chopine, devait cuver.
- Je vais chez la Marie, pour voir si le Gaston l’est revenu.

- C’est vous l’inspecteur ? C’est pour vous signaler la disparition de notre chauffeur en forêt hier ?
Comme cela aurait abîmé notre jaguar, nous avions loué un vélo-taxi avec une charmante carriole, c’est si champêtre que nous n’avons pas pu résister.

- Un vélo-taxi ? Pas dans la brousse ici. Il a disparu quand ? Brigadier, prenez la déposition !
- Nous logeons au château et c’est notre femme de chambre, elle est du village, qui nous a conseillé ce chauffeur pour découvrir la forêt. nous ne sommes pas équipés pour marcher dans les bois, comme a dit Charles, rien ne vaut un tour de carriole pour ouvrir l’appétit.
Il est venu nous chercher au château à 11 heures. Un vélo un peu vieillot, nous aimons les antiquités, la carriole accrochée derrière, très propre. Nous avions pris notre panier pique nique, et pour lui, une bouteille de vin, la chaleur….Un bon pédaleur qui sait tenir sa place.
- Comment s’appelle t-il ?
- Charles, vous souvenez-vous de son nom ?…. Nous ne l’avons pas retenu.
- Vous venez signaler la disparition d’un chauffeur sans savoir son nom, vous me racontez que c’est un taxi-vélo avec une carriole ! Personne n’a jamais vu un vélo qui fait le taxi ici, brigadier, renseignez-vous. Continuez, vous.
- Nous lui avons demandé de stopper pour pique niquer, belle forêt, l’ai pur, les oiseaux… Notre déjeuner étalé sur l’herbe, c’est si charmant, nous étions affamés, le grand air, la carriole, que d’émotions.
- Au fait, au fait, il a disparu quand ?
- Il était assis pas très loin de nous, buvait au goulot, pourtant nous avions proposé un verre, je lui avais fait une assiette, faut pas être chien non plus. Je lui ai dit, vous reprendrez bien un peu de poulet ? Il s’est levé a enfourché le vélo, soulevé sa casquette en nous criant, bien l’bonjour, je m’en vais.
Nous avons attendu, nous sommes rentrés à pied, la carriole est toujours là bas, nous ne savons pas où d’ailleurs…
- Je résume, un chauffeur sans nom vous a promenés avec un vélo qui fait taxi avec une carriole, un pique nique et disparaît à cause du rab de poulet !
Comment on va l’retrouver çui-là ?
- J’ai une photo, c’est Marguerite qui nous l’avait prêtée
- Brigadier, regardez si vous reconnaissez le sieur.
- Chef, chef, je reconnais le potager. Chef, c’est bien un taxi le vélo, c’est écrit dessus.

Texte écrit selon la consigne de Kaléïdoplumes ici

Un nouveau champion pour le Guinness World Records

Trifouilly Les Canards Boiteux compte parmi ses concitoyens un bien particulier champion, Mr. G. Bienentendu détient le record de l’écrivain qui n’a rien à écrire.
Bien étrange record, nous avons interviewé Mr G.Bienentendu pour comprendre sa démarche.
La gazette des chiens écrasés : Nous avons lu votre livre, et pas compris grand chose, la philosophie qui s’en détache nous dépasse.
G. Bienentendu : Oui je comprends
LGDCE : Pourriez-vous nous parler de votre livre ?
G. Bienentendu : Le contenu est suffisamment clair
LGDCE : Pour vous et nous qui l’avons lu, mais pour donner envie à de futurs lecteurs ?
G Beinentendu : Je n’ai rien à dire
LGDCE : Comment vous est venu cette idée de livre ?
G.Bientendu : A la demande de Kaléïdoplumes-sèches. Je n’ai rien à exprimer et j’ai tenu à en faire part.
LGDCE : Nous l’avons compris en parcourant votre livre. Ne croyez-vous pas que 500 pages, c’est un peu long ?
G. Bienentendu : Non, puisqu’il n’exprime rien au contraire de ceux qui ont toujours quelque chose à écrire.

Chers lecteurs, vous aurez compris que Mr. G. Bienentendu n’a pas grand chose à nous prouver. Nous le félicitons pour son record détenu au guiness book pour le prix de l’écrivain qui n’a rien à dire. Nous vous mettons un extrait de son livre. Bonne lecture.












Texte écrit selon la consigne de Kaléïdoplumes ici


vendredi 2 juillet 2010

Confucius

Agissez envers les autres comme vous aimeriez qu'ils agissent envers vous

On doit aimer son prochain comme soi-même ; ne pas lui faire ce que nous ne voudrions pas qu'il nous fît

Rien n'est jamais sans conséquence,
En conséquence, rien n'est jamais gratuit

Trois sortes d'amis sont utiles, trois sortes d'amis sont néfastes. Les utiles : un ami droit, un ami fidèle, un ami cultivé. Les néfastes : un ami faux, un ami mou, un ami bavard

Notre plus grande gloire n'est point de tomber, mais de savoir nous relever chaque fois que nous tombons

Si tu rencontres un homme de valeur, cherche à lui ressembler. Si tu rencontres un homme médiocre, cherche ses défauts en toi-même

Il faut se garder de trois fautes : parler sans y être invité, ce qui est impertinence ; ne pas parler quand on y est invité, ce qui est de la dissimulation ; parler sans observer les réactions de l'autre, ce qui est de l'aveuglement.

Avoir assez d'empire sur soi-même pour juger des autres par comparaison avec nous, et agir envers eux, comme nous voudrions que l'on agît envers nous-mêmes, c'est ce qu'on peut appeler la doctrine de l'humanité ; il n'y a rien au-delà

Celui qui déplace la montagne, c'est celui qui commence à enlever les petites pierres

Quiconque a entendu les cris d'un animal qu'on tue ne peut plus jamais manger de sa chair

Je ne peux rien pour qui ne se pose pas de questions

Pour un mot, un homme est réputé sage ; pour un mot, un homme est jugé sot

Rappelle-toi que ton fils n'est pas ton fils, mais le fils de son temps

Rien ne sert de parler des choses qui sont déjà accomplies, ni de faire des remontrances sur celles qui sont déjà très avancées, ni de blâmer ce qui est passé

Je n'ai pas encore vu un homme qui ait pu apercevoir ses défauts et qui s'en soit blâmé intérieurement

Agis avec gentillesse, mais n'attends pas de la reconnaissance

Quand un homme a faim, mieux vaut lui apprendre à pêcher que de lui donner un poisson

Nulle pierre ne peut être polie sans friction, nul homme ne peut parfaire son expérience sans épreuve

jeudi 1 juillet 2010

4 millions de français dans la solitude

Comme le dit la chanson, la solitude ça n'existe pas.
Comme il est dit en spiritualité, la solitude n'existe pas.
Comme il est dans la vie, oui la solitude existe et ce n'est pas de ma faute si pour une raison ou une autre parce que l'on divorce et que l'on perd le statut de femme de., chômage, et ensuite, l'engrenage.


Une femme seule dérange les tables de couples et oui je ne sais plus me tenir, les invitations disparaissent en même temps que les coups de téléphone.

C'est con n'est ce pas d'espérer un coup de téléphone ou une invitation ?
Oui c'est con d'avoir voulu espérer un coup de téléphone, d'amie, d'ami, d'amies, d'amis mais c'est forcément de ma faute, de notre faute, puisque il y a 4 millions de français dans la solitude. Toujours une excuse pour ne pas... et ne pas avoir à nous contacter ; la vie trépidente, la famille, les enfants, le travail, la recherche de travail, les amis et la famille qui débarquent, le chien qui est malade, les travaux, et tant d'autres choses, cela prend tant de temps que plus jamais vous n'avez pris le temps de faire signe, de nous faire signe.
Mais, c'est de ma faute forcément.

Je vous l'accorde.
Pas de rancoeur envers personne c'est la vie accordez moi le fait que ce n'est pas toujours facile à admettre et comprendre. Et tant qui'l y aura "Un éclat de fraternité", roule ma poule.

Cela me console puisque :

"Quatre millions de personnes en France sont frappées par l'extrême solitude, selon une étude de la fondation de France publiée jeudi 1er juillet. Pas de famille pour un déjeuner le dimanche, pas d'amis avec qui échanger des confidences, pas de collègues avec qui partager un verre après le travail. Ces 4 millions de Français, soit 9 % de la population, déclarent avoir eu moins "de trois contacts directs" dans l'année en dehors du "bonjour/au revoir" avec les commerçants. Ils n'ont quasiment aucune conversation personnelle avec autrui.

LE COÛT DE LA VIE SOCIALE

Comment sombre-t-on dans l'extrême solitude ? 56 % des personnes seules l'expliquent par une rupture familiale. Un divorce, un décès ou encore une dispute peuvent faire basculer un individu dans l'isolement. Le chômage arrive en second élément déclencheur du repli, chez 14 % des esseulés.

Le cliché selon lequel l'anonymat des grandes villes serait synonyme d'isolement est démenti par l'étude. Il y autant de personnes seules à la campagne qu'en ville. C'est l'argent qui est le facteur le plus discriminant. Plus on est pauvre, plus on est seul. Près de 14 % des personnes qui touchent moins de 1 000 euros par mois n'ont pas d'amis. Avoir une vie sociale coûte cher : cinéma, restaurant, faire garder ses enfants... Autant de dépenses que ne peuvent se permettre les petits revenus. Les personnes qui gagnent 2 500 euros par mois ne sont elles que 2 % à ne pas avoir d'amis.

PLUSIEURS RÉSEAUX DE SOCIALISATION

La fondation de France divise la vie sociale d'un individu en plusieurs réseaux : le réseau familial, amical, professionnel et le voisinage. 23 % des Français ne disposent que d'un seul réseau de socialisation. Un déménagement ou un décès peuvent les faire basculer. Contrairement aux idées reçues, la famille n'est pas le dernier rempart contre la solitude. Ce sont les voisins qui représentent l'ultime lien avec le monde extérieur. 10 % des Français confient se sentir soit exclus, soit abandonnés, soit inutiles, même quand ils ont encore des relations avec un réseau social.

Le sentiment de solitude augmente avec les années : 16 % des plus de 75 ans en sont frappés,
5 % des 60-74 ans. Elle frappe aussi la tranche d'âge des 40-49 ans (9%). La quarantaine est un moment particulièrement à risque, où l'on peut divorcer, perdre son emploi ou encore ses parents.

Les réseaux sociaux ne sont d'aucun secours aux personnes seules. Près de 88 % d'entre elles ne se connectent jamais à un site du type Facebook. Et ceux qui collectionnent les amis dans le monde virtuel sont généralement ceux qui les collectionnent aussi dans la vie.

Judith Duportail, Le monde

Les solitudes en France, le rapport intégral se trouve sur cette page d'accueil

samedi 26 juin 2010

I wish I knew how it would fell to be free



I wish I knew how it would feel to be free
I wish I could break all the chains holding me
I wish I could say all the things that I should say
Say 'em loud, say 'em clear
for the whole round world to hear.

I wish I could share all the love that's in my heart
remove all the bars that keep us apart
I wish you could know what it means to be me
Then you'd see and agree
that every man should be free.

I wish I could give all I'm longing to give
I wish I could live like I'm longing to live
I wish that I could do all the things that I can do
though I'm way overdue I'd be starting anew.

Well I wish I could be like a bird in the sky
how sweet it would be if I found I could fly
Oh I'd soar to the sun and look down at the sea
and I'd sing cos I'd know that
and I'd sing cos I'd know that
and I'd sing cos I'd know that
I'd know how it feels to be free
I'd know how it feels to be free
I'd know how it feels to be free

Illusion, Vie à l’extérieur de Soi

Lever de soleil, Subrero

Illusion : perception fausse.
Sens 2 Jugement erroné, opinion fausse
Sens 3 Apparence trompeuse, en dehors de la réalité


Nous vivons dans un monde d’illusion et trop à l’extérieur de Soi.
Tout ce que nous voyons n’est donc qu’apparence, tout ce que nous vivons matériellement, est illusion.
Et même en sachant cela, il est difficile de vivre sans ce monde d’illusion.
Etre détaché de tout, voir le vase de l’époque Ming qui vaut quelques millions d’euros se fracasser sur le sol en pensant, pas grave, ce n’est que de l’illusion, je pense que cela doit être difficile. Il est toujours possible de ramasser les morceaux et d’en faire un beau tableau en collant les morceaux.

Ne plus être «attaché» à l’argent en jouant à la bourse, faire des placements, travailler plus de 10 heures par jour pour pouvoir avoir un gros train de vie et dépenser. Mais, ne plus vivre aussi ; à quoi cela sert d’avoir une très belle maison si ce n’est que pour la quitter à 8 heures du matin et y rentrer épuisé à 21 heures ?

Où est la bonne frontière entre ce parfait détachement et le désir de posséder le matériel ?

Tout ce qui est à l’extérieur de Soi est illusion, puisque, impermanent. Tout passe, rien n’est figé, et nous même ne sommes-nous pas qu’illusion, puisque notre corps est la partie visible extérieure à Soi ?

Bien jolis ces mots que j’écris avec une telle facilité, comme si je vivais depuis des années dans ce constat permanent : la vie n’est qu’Illusion et je vis chaque seconde à l’intérieur de moi.

Non, si j’avais atteint cette sagesse, je ne serai pas à me poser des questions sur cette dualité : oui, tout n’est qu’illusion, je ne vis pas à l’intérieur de moi mais je sais que je vis trop à l’extérieur.

Je fais quoi de ce constat ?
Est-ce que poser la question est déjà un pas vers …..
Trop facile, s’il suffisait de poser les questions pour vivre la sagesse, je serai une grande sage.
Je comprends, j’essaye de me détacher un maximum et il est vrai que si le vase ou la potiche que je tiens de ma grand-mère et qui ont quelques valeurs marchandes, se fracassaient, je ne sais pas si mon sourire grimaçant disparaîtrait sous le, pas grave, c'est juste du matériel.

Vais-je faire tomber quelque chose pour me prouver que je suis dans ce détachement ?
Pourquoi pas finalement ? La seule chose c’est que sûrement mon entourage pourrait penser que j’ai un peu perdu les pédales ; pourrais-je leur avouer que non, je ne pédalais pas dans le vide, que je voulais me prouver que…
Mauvais test, puisque il faudrait que je m’oblige à dire et penser : pas grave, même si je ne le pense pas totalement.

Je passe, nous passons sans cesse des tests.
Chômage qui entraîne des chutes vertigineuses en se demandant, et demain comment vais-je faire ?
Et là, j’ai réellement compris ce pas grave, demain sera ce qu’il sera et j’ai mieux vécu, dormant bien sans me préoccuper de demain.

Comment à la fois savoir que nous vivons dans l’illusion et ne pas plonger dans ce piège de l’illusion ?

Vivre à l’extérieur de soi fait partie de la vie d’illusion.
Difficile donc d’être conscient de ces mondes dans lesquels nous vivons mais desquels nous devons nous détacher afin d’avoir un regard extérieur neutre et ne plus être tourner vers l’Essentiel.

Ce qui veut dire voir au delà des yeux, voir au delà de l’enveloppe corporelle et ne s’attarder qu’avec le regard de l’âme et du Cœur.

Cela implique aussi d’être détaché de tout événement qui se place sur notre chemin pour apprendre à se détacher de paroles blessantes, des petites choses de la vie qui nous feraient de la peine, nous contrarieraient.
Il est des vécus quotidiens qui sont extrêmement dur à supporter, comment accepter sasn être dans des émotions pas très positives ? Je 'nai pas encore trouvé de réponse à mon questionnement.
Toujours penser, cela n’est pas important, c’est ainsi que les choses doivent se vivre et ne pas s’arrêter sur d es émotions qui pourraient nous entraîner vers le bas.
Pas facile, plus aisé à écrire qu’à Vivre.
"Fermer les yeux, et VOIR !

Fermer les yeux et commencer à distinguer le monde autrement, s'ouvrir pour un ailleurs à portée de mains, à portée de sa conscience.

Fermer les yeux, et S'OUVRIR !

Sonder le noir intérieur de toutes choses et de soi-même afin d'atteindre une autre perception.
Oser aller à sa rencontre, et comprendre l'immensité de notre être, voir, oser, comprendre…

Alors, les yeux fermés, commencera l'aventure !

Entendre votre cœur profond, il bat… au même rythme que vos pulsations, un cœur dans le cœur, un temple dans le Temple…

Regarder l'air qui entre dans vos poumons, vivifiant votre corps et sentir cet air, comme une lumière qui inonde vos organes, voir l'air, en prendre conscience, les yeux fermés…

Sentir l'impulsion de vos muscles, vibrant dans tout votre corps, fidèles serviteurs, ils sont prêts à servir votre corps et votre temple. Voir leur travail, les yeux fermés…

Prendre conscience de votre corps tout entier, entendre les sons secrets, ceux que vous ne pouvez entendre et voir que les yeux fermés…

Puis, aller plus loin… toujours plus loin ! Les yeux fermés, entendre votre Temple !
Ecouter sa voix qui est Son Appel…

Et là, sentir cette douce chaleur tournant comme une roue d'amour, votre plexus solaire s'embrase, vous inondant d'une énergie que vous ne perceviez que bien partiellement, ne rien dire, ne rien penser, juste se laisser envahir par cette onde divine et Redevenir amour, l'espace d'une éternité retrouvée, juste Etre !

Alors, les yeux fermés, vous verrez une lumière dans des milliers de lumière, tourbillon d'énergies qui font route vers Son Energie, tout cela en vous, comme un merveilleux miracle,
éclaboussures d'Amour insoupçonnées !

Les yeux fermés, vous toucherez l'éternité, vous verrez des mondes dévoilés, des lumières sacrées, enfin, vous habiterez lucidement Votre Temple.

Prenez grand soin de ce Temple, il est Temple de Vie, il est symbole de votre arbre à l'envers,
celui qui vous porte, vous guide, il est votre héritage Divin !

Puis, les yeux fermés, écoutez le vent, il vit, il vibre lui aussi, il chante pour vous, corps et Temple enfin réunifiés !
Entendez la nature, elle parle, elle rit, elle pleure aussi, mais elle est elle aussi unie à vous, à Lui…

Ecoutez l'eau ruisseler, perles de lumière, limpide énergie qui coule vers son but, tout comme vous !

Ecoutez, regardez, comprenez les yeux fermés !

Invitez le monde en vous, reconnaissez-vous comme un enfant pétri de Lumière, comme toute la création, reprenez votre place.

Prenez enfin conscience de votre dimension holistique, vous êtes depuis que le temps est né
et même bien avant.

Travaillez à parer votre Temple, puis un jour, en ouvrant vos yeux, alors le monde que vous percevrez changera, car en ayant fermé les yeux, vous avez contribué à embellir votre Temple certes, mais aussi à élargir votre vision terrestre, car tout sert, tout est lié !

Fermez les yeux pour mieux les ouvrir !

Paxual
"

dimanche 13 juin 2010

Il n'y aura pas de Ré-union


Rien n'est dû au hasard, y compris des ruptures d'amitié, de couples, familiales.

Combien de question me suis-je posée au sujet d'ami(e)s qui disparaissent du jour au lendemain dans le silence ou en donnant des prétextes qui n'en sont pas.

Ces coupures ont un sens et je transcris des réponses à une question donnée. Ces questions et réponses émanent d'un forum.
Par ces réponses,j'ai compris (je suis très très lente mais il y avait sûrement encore de l'espoir)que jamais, il n'y aura cette fameuse Ré-union de soeurs d'âmes. En tout cas pas dans cette dimension.
Se pose la question pourquoi nous avoir tant parler de l'importance de cette Ré-union ? Puisque cette Réu-nion s'est transformée en désunion voulue, désirée par certaines.

Je n'ai pas de réponse, juste que depuis cette lecture très récente, j'ai décidé de ne plus jamais contacter ces soeurs d'âme (ou amis-es, ou famille ou... qui ont disparu)puisqu'en fait cela ne servirait à rien. Il ne faut pas revenir sur des cassures.

Alors, je souhaite à chacune de mes soeurs d'âme que leur chemin dans cette vie soit beau, même si c'est sans moi.
Quant à vous là-haut, je vous pose cette question : pourquoi avoir tant parlé de l'importance de cette Ré-union avec tant d'insistance ? Puisqu'en plus vous saviez qu'elle ne se ferait pas.
Merci de votre réponse qui sera forcément très éclairante.

Thème de la discussion : Evolution en groupe
Nos parents, enfants, amis sont TOUS des êtres en compagnie de qui nous avons vécu de très, très nombreuses vies.
Question : Et si ces âmes très évoluées se sont sacrifiées en choisissant volontairement une personnalité difficile pour faire évoluer le groupe avec qui elles cheminent, auront-elles pour autant à payer un karma ?

"Bien sûr, et elles le savaient avant de s'incarner !"

Question : En faisant le travail sur les "chaînes du passé", je me suis rendue compte que certaines relations amicales avaient été brisées d'une manière radicale sans que je ne fasse quoi que ce soit.

"C'est NOUS qui nous bloquons sur certaines énergies du passé - de cette vie ou d'autres-
Rien n'est jamais "de la faute" des autres, nous sommes ENTIEREMENT responsables de toutes les énergies que nous avons créés par nos pensées, nos actes, nos paroles, que ce soit dans cette vie ou d'autres. Lorsque nous "rompons" avec le passé, nous annihilons certaines chaînes (énergétiques) , et ce travail fait que d'une façon ou d'une autre nos relations changent ou... disparaissent de notre vie. Nous nous sommes dégagés et nous avons dégagé "les autres".

Si ces relations ont un lien avec un passé d'autres vies, nous sommes délivrés de chaînes qui subsistaient encore.
Mon intervention : N., en fait tout à une raison d'être pour se libérer, y compris le fait que par exemple des amis disparaissent sans raison précise."

Question : Si, comme tu l'écris, « Nous nous sommes dégagés et nous avons dégagé "les autres" » c'est en fait réciproque si la personne pense que c'est nous qui sommes partis. Effet miroir ?
Cela est donc bénéfique pour tout le monde, alors que l'on a tendance à penser le contraire, lors de ces cassures, amis, famille.
Nous avons tort de vouloir reprendre contact alors ?
Est-ce cette évolution dont parle M. ?

"Lorsque nous nous libérons d'une chaîne, nous libérons celui ou ceux à qui nous sommes "enchaînés". Par contre eux ont à se débarrasser des énergies qu'ils ont crées, même s'ils ne sont pas conscients de ces chaînes. (Un être peu se libérer tout simplement par le pardon).

Ce qui empêche le contact, c'est souvent que les liens karmiques subsistent. S'ils ont été rompus, il peut se passer des miracles.

J'ajoute que ce n'est pas forcément en travaillant sur le passé consciemment que nous brisons des chaînes. Nous le faisons essentiellement par nos pensées, notre pardon... etc. Il faut ACCEPTER aussi que lorsque nous nous libérons certaines relations s'espacent et n'aient plus lieu. C'est que pour cette vie nous n'avons plus rien à travailler avec certains êtres, fussent-ils de notre famille. Cela s'appelle aussi le lâcher prise.
Ainsi lorsque nous nous retrouverons, dans cette vie ou d'autres, plus rien ne subsistera des liens du passé, il ne restera que l'Amour et l'harmonie."

Question : Très peu de personne comprenne qu'il est possible de pardonner et d'aimer des personnes qui ont fait souffrir. Il faut être masochiste pour pardonner et ne pas détester les personnes qui ont fait souffrir, c'est ce qui m'a été dit.
Une seconde, j'ai pensé, à oui, peut-être. Grr ce doute. Et répondu non. Et en plus oui, il est possible de re-voir ces personnes.
Le chemin du pardon est plus ou moins long, et je pose la question est-ce que rien éprouver comme émotions (colères, haine...) vis à vis de personnes qui ont créé beaucoup de souffrance est une forme d'Amour ou du non Amour.

Ou alors avoir fait la paix avec soi-même puisque ce sont nos rancœurs, nos souffrances qui activent ces non possibilité de pardon.
Est-ce cela une petite partie de l'amour sagesse vers lequel nous allons, c'est à dire s'aimer soi-même pour pouvoir Aimer ses ennemis.

"Si tu ne ressens rien, c'est que tu as tout évacué. Pourquoi ressentir un sentiment alors que l'Amour est ENERGIE ? Tu n'as plus de SENTIMENT de rancœur, de haine, si tu ne ressens plus de colère, c'est que l'ENERGIE Amour les a dissout ; alors ne te préoccupe pas de ne rien ressentir et envoie leur tes plus belles pensées d'Amour. Ainsi tu aimeras "avec sagesse"."

mardi 1 juin 2010

Tu seras un homme, mon fils

Photo non libre de droit, appartenant à C.F.J

Tu seras un homme, mon fils.
Si tu peux voir détruit l'ouvrage de ta vie
Et, sans dire un seul mot te remettre à bâtir
Ou perdre d'un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir.

Si tu peux être amant sans être fou d'amour,
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre,
et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre.

Si tu peux supporter d'entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter les sôts,
Et d'entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d'un mot.

Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois
Et si tu peux aimer tous tes amis en frères
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi.

Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,
Rêver, sans laisser ton rêve être ton maître
Penser, sans n'être qu'un penseur.

Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu peux être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral ni pédant.

Si tu peux rencontrer triomphe après défaite
Et recevoir ces deux menteurs d'un même front.
Si tu peux conserver ton courage et ta tête,
Quand tous les autres la perdront.

Alors, les rois, les dieux, la chance et la victoire
Seront à tout jamais tes esclaves soumis,
Et, ce qui vaut mieux que les rois et la gloire,

Tu seras un Homme, mon fils.

Rudyard Kipling

dimanche 30 mai 2010

Il est un temps

A.....

Ecclésiaste 3
« Il est un temps pour tout un temps pour toute chose sous les cieux:
un temps pour naître, et un temps pour mourir; un temps pour planter, et un temps pour arracher ce qui a été planté»
Arrêter de vivre dans les rancœurs du passé, quel qu’il soit.
Sans cesse ruminer mène à la stagnation, et empêche de Vivre le moment présent.
Et arrive le temps du pardon, ou pour ceux qui ne le peuvent, le temps de l’oubli :
« un temps pour aimer, et un temps pour haïr, un temps pour la guerre, et un temps pour la paix. »

Comment vivre dans la Lumière et l’Amour, si le jugement est encore là, présent, tenace ? Ce jugement qui ronge le cœur, plombe les pas vers l’autre, les autres.

Le temps n’efface rien si le désir du pardon n’est pas.
Le vent peut balayer les peines et les souffrances, si le mental lâche pour laisser place à la délivrance de la rancune.
Remuer encore et encore la boue ne fait pas boire ceux qui ont soif.
Se laver de ces peines, se dire que plus rien n’a d’importance aujourd’hui dans ce lieu de passage vers ce qui sera, avec nous, sans nous, mais sera.
La lumière est cachée par l’étroitesse de ce que nous sommes encore, surtout en vivant et revivant des situations qui ont blessé.
Chaque situation qui entrave notre avancée, parce que nous nous y enlisons, jusqu’à nous en étouffer, se répétera encore et encore, si nous ne désirons pas vivre dans le moment présent, tournés vers demain en cessant de regarder en arrière, ce qui nous statufie.

Il n’y a nulle ténèbre qui reste dans le noir si l’on ne désire pas avancer dans l’oubli de ce qui a été, pour laisser place à ce qui doit être.
Arrêter de ressasser le passé permet de guérir et de faire circuler l'Energie dans un corps en souffrance qui "bouchonne" par réaction.

Il est là ce temps.

"Celui qui ne voit pas le mieux en l’autre ne pourra pas percevoir le mieux en lui-même. C’est pour cette raison que nous vous demandons toujours de ne percevoir chez l’autre que le plus beau qu’il puisse vous montrer de lui-même et qu’il puisse exprimer.

Ignorez complètement tout ce qui n’est pas parfait en l’autre, tout ce que vous considérez comme étant des défauts, et focalisez votre attention sur ce qu’il y a de meilleur, de plus beau, de plus parfait chez ceux qui vous entourent. Non seulement vous vous aiderez à acquérir une certaine perfection mais vous aiderez l’autre à maintenir son taux vibratoire le plus haut possible." Clé de sagesse
Du ciel à la terre

jeudi 27 mai 2010

Les humains sont trop individualistes

Je vois une présence féminine totalement entourée de lumière blanche. Ce n’est pas la Mère Divine. Elle me dit :
« C’est la première fois que je m’exprime, et cependant je vous connais. Je vous connais même très bien. Effectivement, je suis ce que tu pourrais appeler une énergie féminine.
Je viens d’un monde de Lumière. Je suis actuellement sur le vaisseau mère. »

Je ne comprends pas trop ce qu’elle veut dire par « vaisseau mère ». Elle me dit :
« Ne cherche pas à comprendre !
Je viens de la part de tous mes frères galactiques, et j’ai un message pour mes frères de la Terre.

Vous allez entrer dans une période très difficile et en même temps merveilleuse pour l’humanité, une période où tout deviendra différent.

Vous avez parlé de ces choses-là maintes et maintes fois, mais tout cela reste au niveau de votre intellect, de votre mental, parce que vous n’avez pas du tout, mais alors pas du tout pris conscience de ce que sera votre vie dans ces moments de grandes turbulences.

Vous n’êtes pas encore tout à fait prêts, dans votre conscience, à tendre la main à celui à qui vous devrez tendre cette main.

La plupart des humains, malheureusement, sont encore beaucoup trop individualistes. Il arrivera un moment où ils ne pourront plus être individualiste.

Tout ce qui vous a été enseigné par nos frères et vos frères de Lumière, nos frères galactiques, va maintenant avoir réellement sa grande utilité. C’est maintenant que vous comprendrez, que vous vous rendrez compte si les leçons que nous vous avons données depuis tant et tant d’années ont été bien comprises, ont été bien intégrées.

Ce qui sera le plus dur pour vous, et malgré toutes vos belles paroles, ce sera de vivre une sorte de collectivité pendant un petit moment. Je dis cela pour une généralité ; chacun de vous vit en retrait sur lui-même, en évitant les partages, et c’est une façon de vivre qui, à notre avis et à celui de tous nos frères galactiques et frères de Lumière, est une façon erronée.

Vous avez tous besoin les uns des autres. Tout seul, dans n’importe quelle circonstance, vous ne serez rien ! Dans les moments difficiles qui vont venir, chacun devra mettre sa pierre à l’édifice, et l’édifice sera celui que vous aurez construit, tout du moins pour un certain temps, car ensuite il n’y aura plus d’édifice, il n’y aura que la Lumière.

Vous allez tous être testés d’une façon ou d’une autre par rapport à vos comportements, par rapport à votre générosité et aussi par rapport à l’Amour qui est dans votre cœur.

Soyez bien attentifs à ce que je dis : si vous restez toujours dans l’individualisme, que ce soit dans les groupes, dans les familles ou en règle générale vous n’aboutirez à rien, et d’une certaine manière vous serez détruits.

N’oubliez pas ce que je vous dis : votre force sera la multitude, non dans le sens de centaines de personne, mais d’une certaine manière il faudra recréer des petites collectivités. Je dis bien « petites collectivités ».

Je ne vous demande pas de vivre en collectivité, d’être forcément plusieurs dans la même demeure, quoique à un certain moment vous serez probablement obligés de le faire, je parle d’esprit de collectivité.

Vous êtes tous, TOUS, dans l’esprit individualiste ! »

Je la vois de plus en plus humaine. Elle est habillée de couleur claire. Elle a ce qui ressemble à un justaucorps, elle a de magnifiques cheveux un peu roux, comme flamboyants. Elle a des grands yeux très profonds. Je dirais que dans ce que je perçois de cette merveilleuse présence, elle a une grâce absolue dans ses traits ainsi qu’un immense Amour, une immense paix. Elle me dit :
« Bientôt, chacun de vous mettra en application tout ce qu’il aura appris. Il y aura les bons et les mauvais élèves. Cependant même les derniers élèves, au dernier moment, pourront devenir de bons élèves s’ils comprennent le processus et s’ils l’acceptent. »

Cette merveilleuse entité me dit venir d’un système solaire assez loin du nôtre, qui est à la fin de notre galaxie. J’entends « constellation de la Vierge ». Elle me dit :

« Nous sommes très nombreux, originaires de plusieurs mondes, de plusieurs systèmes solaires, venant aider les mondes qui vont se transformer comme le vôtre. Il y en a d’autres, mais le vôtre est le plus précieux de tous. En plus, il est le plus habité de tous.

Les Etres de Lumière auront un travail gigantesque pour accueillir tous les êtres qui quitteront le plan de la Terre sans leur corps, tous ceux qui passeront la grande porte, et il y en aura beaucoup.

Surtout, quoi qu’il arrive, ayez confiance ! Ayez confiance en votre merveilleux devenir, ayez confiance en l’aide que vous aurez de la part de vos frères galactiques, de vos guides personnels et de tous les Etres de Lumière.

Il est important que vous vous affiniez davantage dans les perceptions parce que vous aurez énormément de signes, et chacun devra les interpréter car les signes ne seront pas les mêmes pour chacun de vous. Si vous en parlez, parfois ils se recouperont. Avec ces signes, vous reconstituerez le puzzle de ce que vous devez apprendre ou de ce que vous devez vivre.

Cette humanité, d’une certaine manière, est merveilleuse parce qu’elle a prouvé sa force, elle a prouvé son courage, elle a prouvé sa détermination, mais malheureusement une partie de l’humanité a travaillé dans le sens opposé.

Cette partie de l’humanité est composée d’êtres qui ont asservi d’autres êtres qui auraient pu s’épanouir d’une merveilleuse façon, et ils devront recommencer leur vie sur d’autres mondes de troisième dimension. Ce sera pour eux une grande souffrance.

Bientôt, vraiment bientôt, vous aurez tellement de signes que vous ne pourrez plus douter ! Dans ces signes, il y aura énormément de manifestations de ce que vous appelez « ovnis ». Vos gouvernements ne pourront plus rien cacher, parce que cela sera tellement évident que dans tous les pays de votre monde il y aura des manifestations de notre présence. Elles auront lieu pratiquement à la fin de ce cycle.

Donc lorsque vous verrez beaucoup de signes, vous saurez que le changement de cycle définitif est tout proche, c'est-à-dire l’entrée en quatrième et cinquième dimension.
Je dirai que se sera plutôt l’entrée en cinquième dimension, car la beaucoup d’entre vous, ceux qui ont atteint une conscience supérieure, êtes déjà en grande partie en quatrième dimension au niveau de votre conscience, mais pas de votre corps.

Le basculement au niveau de la fréquence vibratoire de la matière, se fera rapidement pour ceux qui sont déjà en quatrième dimension. Ils n’auront plus les mêmes sensations, les mêmes désirs. Vous pouvez déjà vous en rendre compte dans ce que vous vivez actuellement.

Un signe probant de votre changement de fréquence vibratoire sera des souffrances plus ou moins fugaces ou plus ou moins durables dans votre corps. Ne vous révoltez pas ! C’est toute votre matière qui se transforme.

Maintenant je vous salue et vous envoie tout mon Amour et celui de tous mes frères galactiques.»
21/05/2010

Message reçu par Monique Mathieu : du ciel à la terre

jeudi 20 mai 2010

La solitude

La solitude est une tempête de silence qui arrache toutes nos branches mortes. Khalil Gibran


Depuis quelques temps, j’ai envie de rien. Ce rien représente tout. Tout ce que je ne vis plus, ne suis plus.

Il est fort possible que ce soit cet anniversaire qui me tourneboule. 60 ans, un cap, je me demande si je vais arriver à le franchir plus sereinement.
Cela remet en question ma vie, pou plutôt ma non vie.
Que suis-je ? Une femme sexuellement parlant, c’est à dire ce qui me différencie d’un homme.
Une mère.
Une future grand-mère et là je vais faire hurler les grand-mères et ou futures grand-mères, cela à la fois me fait très plaisir, mais c’est un choc aussi.
Je passe du statut de mère à celui de grand-mère, logique de la vie lorsque l’on a des enfants et surtout des filles. Ce qui est très difficile c’est d’être grand-mère et de ne plus être femme depuis tant d’années.
L’impression d’être une vielle fille rebutante, qui vit seule.
La solitude est impossible à vivre, et pourtant, combien de fois je pense que je ne suis pas la plus mal loti dans cette solitude non voulue.
La solitude d’une non femme, mère-futur grand-mère qui vient de se taper une dizaine de plus, me fait voir que non, je ne peux plus penser que je suis encore jeune.
Je n’ai jamais pensé que je vieillissais, même si bien sûr, je le vois, mais, je ne comptais pas les années qui font que « à mon âge », mon espoir de vivre autre chose que la solitude me parait un sacré pari.
En écoutant Marie-France Hirigoyen qui disait qu’elle a fait une dépression lorsqu’elle a eu 60 ans, j’ai pensé, -ah, logique donc ce que je ressens.
Mon isolement non désiré ne me donne pas envie tous les jours de crier de joie, bien au contraire, plus les jours passent, et plus j’ai envie de hurler.
La solitude n’existe pas, spirituellement parlant, nous ne sommes jamais seuls.
Fort de cette vérité, j’ai essayé de me rendre compte de la « présence », puisque si nous ne sommes jamais seuls, c’est qu’il y a présence.
Rien, je ne ressens pas la présence de quoi que ce soit, et en lisant ceci, je dis, c’est donc de ma faute.
J’ai donc construit ma solitude.
Ce 24 avril date anniversaire m’a fait basculer dans une autre sorte de vie qui à la fois m’a rempli de joie mais me fais aussi sombrer puisque l’envers du miroir est terne. Je suis une femme vieille, depuis des années, ma recherche de travail m’y a confronté, alors que, cela n’est qu’une question d’année de naissance, en mentant sur cette date, je ne serai pas restée 8 longues années au chômage. Premier isolement social qui fait suite à la mise à l’écart volontaire des amis couples, ce qui a entraîné, une préretraite de la femme que je suis, pour une mise à la retraite définitive.
Au rencart depuis des années, je pense que malgré tous ce que j’ai tenté pour sortir de ce placard d’isolement, sauf à aller m’inscrire sur des sites de rencontre, que ce soit pour l’amitié ou pour ne pas finir mes jours comme une vieille femme qui se dessèche dans la solitude, je dois aménager mon placard d’une façon confortable, pas prête de le quitter.
Surtout, surtout, ne pas oublier, spirituellement parlant, je ne suis pas seule, donc, j’ai du chemin a faire encore pour entendre ces mots. La surdité là aussi m’a frappé jeune, puisque cela fait environ 7 ans que je lis et rien compris encore, puisque j’écris, ce jour : je ne me vois pas continuer à vivre dans cette solitude, en étant juste, une mère, une grand-mère, même si cela donne des joies. J’ai eu l’espoir, d’être encore une femme, une amie.
Je ne suis plus rien, je continue à vivre, mais, je n’espère plus devenir autre chose que ce corps qui se trimbale, j’ai perdu l’envie de tout, me disant, à quoi cela sert de vivre ainsi ?
A rien.
Où est le plaisr de faire un repas face à face avec soi-même, chaque jour, ce qui me fait perdre l'envie même du mot.

Vous avez raison, la haut, puisque vous avez toujours raison : c’est de ma faute

____________________________________________________________

Il y a beaucoup de solitude chez un grand nombre de personnes actuellement. Comment peut-on l’expliquer et comment y remédier ?

« Nous aimerions vous dire qu’actuellement beaucoup d’êtres sont prisonniers d’eux-mêmes ; ils vivent cette solitude parce qu’ils ne savent pas aller vers l’autre. Si déjà vous arriviez à comprendre ce qu’est l’Amour pour vous-même, il n’y aurait pas de solitude ! Si vous arriviez à comprendre à quel point vous pouvez être utile à l’autre, il n’y aurait pas de solitude.

C’est votre vie actuelle qui génère cette solitude, cette frustration, cette tristesse, cette souffrance. Pourquoi ? Parce qu’on vous coupe du monde parce qu’on a mis à votre disposition une télévision, parce qu’on a mis tellement de choses à votre disposition qui vous coupent de l’autre, du voisin, et qui vous font vivre replié sur vous-même.

Tant que vous n’aurez pas compris que la vie n’est pas d’être seul, que la vie est d’être avec les autres, d’aimer, de donner, de recevoir, d’échanger, la solitude demeurera en vous.

Nous comprenons fort bien que des personnes d’un certain âge vivent très durement cette solitude, même celles qui ont des enfants et dont les enfants ne s’occupent absolument pas. C’est votre société qui a créé cela et vous vous êtes laissé enfermer dans cette société, vous vous êtes laissé engloutir par une vie qui n’est pas la vôtre, et cela est relativement récent.

La solitude s’amplifie de plus en plus, que ce soit chez les personnes jeunes ou d’un âge plus avancé. Vous avez cependant la possibilité de rompre avec elle. Investissez-vous ! Il y a tellement d’aides à donner autour de vous, il y a tellement de solitude à rompre ! Vous pouvez le faire au travers d’associations, vous pouvez le faire en apportant une aide ponctuelle à vos voisins. Si vous le désirez, la solitude peut ne pas exister, c’est vous qui la créez."

Quelle aide peut-elle être donnée à la La solitude n'existe pas, elle n'existe que si vous ne vous reliez pas avec le Divin qui est en vous . Solitude ?

"Un être peut paraît solitaire et vivre une vie de richesse totale, une vie de richesse spirituelle ! Si cet être n'a pas la possibilité de se joindre à un groupe sincère quel qu'il soit, qu'il se relie « en direct », qu'il travaille tout seul en projetant son Amour et sa Lumière intérieure sur votre Mère la Terre, qu'il prie aussi intensément pour tous ceux qui en ont besoin, pour tous ceux qui n'ont pas conscience de la valeur énorme de la prière.

Quand vous êtes sur cette voie, quand vous êtes sur ce chemin de Lumière, la solitude n'existe pas. Si vous êtes en état de solitude, c'est que vous n’êtes pas encore tout à fait éveillé. Sur ce chemin vous pouvez avoir mille et un compagnons visibles ou invisibles. Vous avez à votre disposition beaucoup de possibilités pour vous exclure de la solitude.

Nous aimerions dire ceci par rapport à la solitude : l'homme moderne vit effectivement dans une très grande solitude, même au sein de sa propre famille, parce qu'il a oublié les choses essentielles de la vie: la communication et l'échange.

Tant qu'il n'aura pas compris que l'homme a besoin de son frère pour l'écouter, pour dialoguer, que la télévision n'est pas l'idéal pour son élévation, que c'est dans l'échange qu'il pourra trouver le bonheur et la paix, l'homme se sentira seul.

L’homme peut se sentir seul dans une foule immense ou dans une grande famille ; c'est à lui, à ce moment-là, de trouver un frère de coeur avec qui il pourra échanger, partager la nourriture spirituelle, celle dont il a tellement besoin.

Vous savez nourrir vos corps, mais vous ne savez pas nourrir votre âme et cela vous procure parfois un très grand manque.

Nous répétons encore ceci : actuellement il est à votre disposition beaucoup d'ouvrages très sains qui peuvent vous nourrir spirituellement, qui vous ouvrent en grand les portes nécessaires à une nouvelle compréhension, à une nouvelle acceptation, à de grandes ouvertures, mais c'est à vous à faire la démarche. »

Message reçu par Monique Mathieu : site : du ciel à la terre

vendredi 14 mai 2010

Kiesha Crowther, Gardien de la Sagesse, Chamane

Kiesha Crowther, Little Grandmother, « Petite Grand-Mère », est Gardien de la Sagesse/Chamane. Elle partage avec nous son savoir et celui des Gardiens de la Sagesse, pour l'année 2010 et à venir.

Il est important de garder l'ordre de ces vidéos







vendredi 30 avril 2010

Tu vois petit

Tu vois petit parce que ton regard ne se porte pas au delà des apparences.
Tu vois petit parce que tu ne cherches pas au delà des montagnes qui sont comme des obstacles insurmontables à franchir.
Tu vois petit, parce que tu ne regardes pas avec ton Cœur mais avec tes yeux qui jaugent, pèsent, soupèsent.
Les autres sont tels un paysage que tu contemples. Ne t’arrête pas à ces troncs morts qui tiennent encore debout malgré les bourrasques qui ont arraché leurs parures.
Sans ses feuilles et branches cela ne te donne plus envie de le contempler, juste un peu de pitié.
Il n’en reste pas moins un arbre.

« L’habit ne fait pas le moine »,
L’Homme est comme ce tronc d’arbre ; va au delà de l’apparence physique ; cet autre, qui pourrait être toi, te fait tourner ton regard sous prétexte qu’il t’est moche ou mal habillé qu’il n’est pas comme tu voudrais qu’il soit.

Derrière, derrière ces montagnes que tu contemples, as-tu cherché à savoir ce qu’il y avait ?
Non, cela te semble trop loin,
Tu vois petit parce que tu ne cherches pas à voir ce qui est caché par la vue.
Tu vois petit parce que tu voudrais que tout soit beau. Beau comme ce panorama que tu contemples, beau comme une photo qui est l’expression de l’œil du photographe, de ce photographe, pas de la tienne.
Tu vois petit parce que tu sors des hoooo de pitié sur ces troncs d’arbres et des haaaa sur ces superbes montagnes.
Aujourd’hui, tu vois petit parce que tu ne sais pas encore que bien sûr, c’est beau, mais ce paysage est parce que la Terre vit intérieurement ; tu vois petit parce que cet autre qui est toi aussi n’est pas que son apparence, son caractère, ce que tu juges.
Tu vois petit mais, ton Cœur voit grand, alors, considères les autres comme tu regardes cette vue, sans jugement, sans a priori. Un paysage est, comme l’autre est si tu le découvres autrement.
Tu vois petit comme je vois petit et, j’apprends, j’apprends chaque jour que l’autre est bien plus beau que ce qu’il me montre, que ce que j'aperçois.

Je vois petit mais je n’oublie pas que, « l’essentiel est invisible pour les yeux, que l’on ne voit bien qu’avec le Cœur »


Texte écrit selon la consigne de Kaléïdoplumes : ici

vendredi 23 avril 2010

Coïncée


- Je cale, je sèche, je n’y arrive pas. Je crois que je suis coincée dans la musique, j'en perds l'appétit.
- Coincée dans la musique ? Je ne te vois pas pourtant sur le fil de mes notes que je siffle.
- Tu ne peux pas comprendre, toi qui vole les courants d'air ; tu es libre, tu respires, tu vois le soleil. J’en ai assez de vivre prisonnière enfouie sous des draps de poussière de bois de musique. Je suis fatiguée de sursauter chaque fois qu’un marteau s’écrase sur l’acier.
- C’est vrai, je ne dépends de personne, je vais, je viens, je plane, je survole, j’hésite, je me pose, je siffle, je réchauffe mes plumes au soleil. Je contemple l’horizon.
Mais... c’est toi qui as choisi ce piano.
- Choisi, choisi… Je suis allée au plus simple, il fallait que je me loge, j’avais mes oeufs à déposer. Mais, la musique, la musique, ces salles vident, le piano, je voudrais changer de nourriture.
- Il est bien vieux ce piano, cela fait longtemps que tu y es consignée ?
- Pas si vieux, il sentait bon la nouveauté, comment aurais-je pu penser qu’il allait traverser le plancher bouffé par mes congénères.
Aide-moi à trouver le chemin de la sortie et rejoindre ma famille, celle qui vit dans le tas de bois d’à côté. De l’air, de l’air.
- Peux-tu montrer le bout de tes antennes ?
- Aïe! Tu m’as pincée, mais que fais-tu ? J’étouffe, je tombe….
- Je suis désolée, j’avais faim, ce que tu ne pouvais voir consignée dans l’ombre de tes copeaux de notes, c’est que je suis une alouette blessée par la vie, j’ai brûlé mes ailes dans la liberté et je n’avais plus rien becqueté depuis un moment.

Texte écrit selon la consigne de Kaléïdoplumes : ici