mercredi 2 janvier 2008

Amis


Amis que j’ai rencontrés au hasard de la vie
Combien vous m’avez trahis
Ma porte toujours ouverte
Prête à vous consoler
Nos rires et nos joies résonnent encore.

La vie avance que reste t-il ?
Amis vous êtes partis
Sans laissez d’adresse
Il ne fallait plus que l’on rit ensemble

J’ai reçu de vos nouvelles par lettres d’avocats
Vous aviez témoigné de ma vie
Que vous m'avez inventée
Au profit d’un mari parti.

Au hasard d’une rue, amie, je t’ai rencontrée
Et là tous nos souvenirs heureux ont jaillis
Je me souvenais, c’était il y a si longtemps

Amie tu n’es plus, si étrangère à moi
Que tu m’as tendu la main pour me dire au revoir
Adieu donc.

mars 2007

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