jeudi 27 novembre 2008

Les Sans domicile Fixe "des êtres à part entière" et vous alors ?

Ces "êtres à part entière" qui en plus lisent

Je viens de lire sur un blog, que les Sans Domicile Fixe sont, je cite "...des êtres à part entière, ni plus ni moins...".
Comment peut-on oser écrire cela ?
Cela dénote une différence, il y a nous, qui vivons sous un toit, nous qui sommes des êtres entiers et les Sans Domicile Fixe, "êtres à part entière".
Mais Qui êtes-vous vous ?
C'est donc en fait normal que Mme Christine Boutin veuille parquer de force ces "êtres à part entière".
C'est faire peu de cas de l'homme qui dort dans la rue.
Mais, avez-vous pris la peine, une seule fois, de vous asseoir auprès d'eux, sur un bout de trottoir, pour leur parler, pour échanger ?
Avez-vous pris la peine, une seule fois de vous accrouoir pour être à leur hauteur, de leur tendre la main pour leur dire bonjour à "ces êtres à part entière, ni plus ni moins" ?
Savez-vous ce qu'est de partager leurs rires et leurs sourires malgré leur si pénible vie de la rue ?
Avez-vous pris la peine un seule fois de considérer ces hommes et femmes non pas comme "ni plus ni moins des êtres à part entière", mais des hommes ou femmes comme vous l'êtes. Frères ?
Non, vous ne considérez pas ces hommes et femmes comme tels.
Non, vous vous contentez d'écrire des lois et de prier.
La prière sans Acte n'est pas.
Ils sont dans la rue, parce q'un jour ils se sont retrouvés sans travail, sans vie sociale, et la descente rapide, si rapide qu'ils n'ont pas prévu cette vie dehors.
Ils ne veulent pas dormir dans les lieux qui s'ouvrent à 18 heures, où il faut avoir fait la queue depuis 17 heures pour être sûr d'avoir une place.
Ils ne veulent pas se séparer de leurs animaux, seuls compagnons de route et de tendresse.
Ils ne veulent pas se faire voler leur sac.
Ils ne veulent pas abandonner leur couverture, leur maison.
Ils ne veulent pas, ni plus ni moins.
Bien sûr, quand ils sont au bout d'un chemin d'épuisement et qu'ils ont faim, certains acceptent pour une nuit, si courte, qu'au petit matin, à 7 heures, ils sont mis dehors.
Alors Mme Boutin allez vous agenouillez auprès d'eux, allez vous asseoir sur leur bout de territoire pour parler avec eux !
Alors ces "êtres à part entière" vous parlerons, vous dialoguerez avec eux.
Eux qui sont nous, qui ont des rires, qui ont des poignées de mains chaleureuses, ces Etres, ces hommes et femmes.

Mais, la peur d'affronter leur regard, cette peur qui vous renvoie à la votre, celle qui vous aveugle, celle qui vous envoie leur détresse qui pourrait être la votre, vous fait écrire "des êtres à part entière, ni plus ni moins" et demander de les parquer, eux qui, vivant dans la rue n'ont donc plus droit à leur liberté de choisir.
Savez-vous que se retrouver dans la rue peux m'arriver, vous arriver vous qui classifiez ces Sans Domicile Fixe;

Vous êtes des "bien pensant", je me préfère mal pensante.
Je n'ai pas pour habitude de faire référence aux mots de Jésus, mais, là, je le fais : "pardonnez- leur, parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils font".
ce quils disent, ce qu'ils écrivent, qui ils sont...




Marcelle Delpastre

Res que me manque, res.
Lo temps de naisser, de morir, lo temps de me virar. Lo temps de res.
D’esser quela chalor. Queu sang. Quela bufada.
Lo temps d’esser ieu - mesme - Res. ‘Na polsada de l’esser.”...
Et n’est-ce point assez que d’être
un seul instant sur la vague le moindre étincellement. Mais n’est-ce point assez ? D’être.”...
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Lo chant de la terra
Zo vos dise, perfum, passarai tala 'na ombra.
E pus redde qu’un fum passarai tras lo riu.
L'arcana dins lo ciau durara mai que ieu.
E n'ai pas tant de temps coma l'aur de la ròsa.
Zo te dise, mar prionda, e sorda a mos prepaus,
Zo te dise, me'n vau – a penas si 'riebe.
Un rire de luna sus la cresta d'una onda,
E l'ai pas vist 'chabar.
Un rai dins 'na gota d'aiga.
Ai l'atge, o es pertant ai l'atge de l'estiala.
E la solelh m'a coat dempuei lo primier jorn.
E la terra m'a portat, e me laschara pas,
Que lo fuec li cremava lo ventre.
E l'aiga m'a menat davant que fugués l'aiga
e que lo vent fugués lo vent.
En la negror dau tempsieu germenave.
Que sui faugiera, aubre mai blat.
Que sui la peira e sa poussiere, e l'arma que lai duerm.
Que sui lo rire, la raior, la dança, e lo sang de l'eternitat.

Je vous le dis, parfum, je passerai telle une ombre.
Plus vite qu’un brouillard je passerai près du ruisseau.
L'arc-en-ciel dans le ciel durera plus que moi.
Et je n'ai pas autant de temps que l'or des roses.
Je te le dis, mer profonde et sourde à mes propos,
je te le dis, je pars – à peine si j'arrive.
Un rire de lune sur la crête d'une vague,
Je n'en vois pas la fin. Un rayon dans la goutte d’eau.
J'ai l'âge, oui pourtant j'ai l'âge de l’étoile,
le soleil m'a couvé depuis le premier jour.
La terre m'a porté, elle ne me lâchera pas,
que le feu ne lui brûle le ventre.
L'eau m'a mené avant que d'être l'eau,
que le vent fût le vent.
Dans la noirceur du tempsje germais.
Je suis fougère, arbre et blé.
Je suis la pierre et sa poussière, l'âme qui dort dedans.
Je suis le rire, la lumière, la danse, et le sang de l'éternité.
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L'idea
De l'idea que ven, que se'n tòrna, e beleu tornara, beleu pas,
que sabes - d'onte ven mai d'onte vendra pas !
D'aquela musica, que passa, que te traucha, que te fai oblidar lo vent, e lo temps, e lo bruch qual que siá alentorn,
d'aquela musica, o d'aquela paraula, qu'arrieba coma vent-folet, que passa, que te tòrç, e que te fai virar
que t'empòrta ! e que te laissa quí, bresat, nejat, leugier mai que pluma, pesant mai que de peira-
e que te laissa quí, crebat de mila mòrts, de mila amors, e de l'eternitat, e que te laissa quí, sechat, pus viu que font,
pus niure e pus segur, e que -que tornara beleu, jamai pariera - o que tornara pas -
coma l'onda que tòrna, o que tornara pas, plaser que fend, dolor que raia -
que ne'n dire ! E que ne'n saubriatz.

De l'idée qui vient, qui s'en va, peut-être reviendra, peut-être pas,
que sais-tu - d'où elle vient, d'où elle ne vient pas !
De cette musique, qui passe, qui te traverse, qui te fait oublier le vent, et le temps, et le bruit quelqu'il soit autour,
de cette musique, ou de cette parole, qui arrive comme un vent follet, qui passe, qui te tord, et qui te fait tourner,
qui t'emporte, et qui te laisse là, brisé, noyé, plus léger que plume, plus lourd que pierre -
et qui te laisse là, crevé de mille morts, de mille amours et de l'éternité, et qui te laisse là, desséché, plus vif que source,
plus ivre et plus sûr, et qui - qui reviendra peut-être, jamais semblable - ou ne reviendra pas - comme l'onde revient, ou ne revient pas, plaisir déchirant, douleur rayonnante -
qu'en peut-on dire ! Qu'est-ce qu'on en sait.
Marcelle Delpastre, extrait de Paraulas per questa terra
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L'araignée et la rose et autres psaumes
Il faudra bien que je te crée. Il faudra bien que je t'invente, faible corps, chair vivante,avec tes armatures, avec tes veines, avec tes os, et le réseau du sang et le chemin des nerfs,
avec tes dents et tes nervures, et l'ombre par dedans, la profonde, la chaude ténèbre.
Avec l'ombre au-dehors, l'ombre vaste du corps qui couvre la moitié du monde.
Que j'invente la jambe et la main, et le ventre et le sein ; la semence,
et la réserve des semences. Il faudra que j'invente ce cri - la voix - ce cri plus grand que toi,
et le parfum qui passe par-dessus les arbres, immense cette odeur qui te porte plus loin.
Et les yeux. Ce regard qui accueille d'un trait,
qui reçoit d'un seul traitla moitié de la moitié du monde, il faudra bien que je l'invente.
Et tant pis qu'il te faille mûrir au milieu de l'été comme une herbe, et tant mieux qu'il te faille mourirà l'aube d'une autre journée. Sur le chemin de l'ombre et des constellations il faudra bien bâtir l'araignée et la rose.

mardi 25 novembre 2008

Nous sommes tous des récepteurs-émetteurs

Réflexions sur la "voyance"

Scientifiquement-médicalement parlant, lors d'une NDE, le cerveau était en mort clinique. Donc, qu'il ne pouvait plus y avoir de conscience de la personne.

Certains médecins, ouverts à la réalité d'une NDE, en ont conclu que le cerveau ne "fabriquait pas", ne donnait pas la conscience, puisque la personne pouvait à son réveil, donner des informations alors qu'elle était morte cliniquement (sans conscience donc médicalement parlant).

L'existence de l'âme Est, l'Esprit EST, en dehors du corps et du cerveau.

Cela fait longtemps que je crois et en l'âme et en l'Esprit, en dehors de notre corps, simple véhicule, mais avec qui il est important de faire l'Unité.

L’âme Est, puisque cette Connaissance, sans cette Conscience (en dehors du cerveau mort cliniquement dans le cadre de ces NDE)au retour de ce voyage, la personne ne pourrait rien raconter de ce qu’elle a vu, entendu que ce soit dans le milieu hospitalier ou de son voyage astral.
Le témoignage de ces personnes est important, puisque ce sont des paroles, des vues, des gestes bien terre à terre qui sont racontés. Pour qu'elles témoignent de la réalié de cette Vie en dehors du corps.

Personne ne peut plus mettre en doute ; Si longtemps le doute a été, scientifiquement parlant, il y a des médecins qui maintenant prouvent qu’il y a bien une Conscience en dehors du cerveau qui, à ce moment là est cliniquement mort

Depuis quelques jours, je me demandais comment, je pouvais en faisant des voyances, sans support, ou avec, dire certaines choses, visualiser certaines choses. Comme tant d’autres « voyantes ».

Certaine qu’une partie émanait de mon âme, puisque cela m'est arrivé de parler au cours de voyances, « d'âme à âme ». A une époque je pensais que c'était uniquement mon âme qui me transmettait ces informations, une lecture d'âme à âme.

En dehors de l'âme ?
Et il y avait en parallèle le « magnétisme », là, je sais que cette Energie d’Aide vient de mon guide. Lors de séance, il y avait aussi une « lecture » des maux de l’âme, de l’Esprit, j’ai pensé que cela venait de mon âme.

Je ne pouvais que penser que, des, mes, mon guide n'y était pas pour rien, mais comment ?
J'ai eu ma réponse hier soir, alors que la veille je me demandais comment je l'aurais ?

J’ai vu une émission sur les NDE, où la parole est donné à des médecins qui pour une fois reconnaissent que ces « visions » de personnes mortes cliniquement sans conscience donc, existent en dehors du cerveau.
Comment une personne morte cliniquement, allongée sur une table d’opération peut raconter ce qui se passait dans une autre pièce ?

Nous sommes Energie, le monde est Energie, l'Univers est Energie, donc, nous sommes entourés d'ondes.
Tout ce que nous recevons comme informations, visualisation, clair-audience, voyances, médiumnité, sont émises par des guides. Notre cerveau reçoit ces informations (ce qui serait intéressant scientifiquement parlant c'est de connaître quelle partie du cerveau) et le cerveau traduit ces ondes par, des visions, des mots, etc...
Nous, sommes la radio récepteur, ou téléviseur qui émet à son tour, consciemment, puisque nous avons tout à fait la possibilité, d'arrêter cette émission, en ne disant rien.

Nous sommes tous des voyants puisque cela ne vient pas de nous, mais bien des guides qui nous envoient ces informations que, nous humains ne pouvons connaître seuls.

Pourquoi, alors ne sommes nous pas tous voyants ?
Grande question.

Forcément, la voyance doit avoir son utilité, puisque ce sont nos guides qui nous donnent, offrent cette possibilité.
Je n'ai pas encore la réponse au pourquoi de l'utilité des voyances.
Sans une certaine utilité, nos guides qui savent ce qu'ils font et pourquoi, ne nous transmettraient RIEN.

Si, lors de voyances, nous sommes volontaires, lors d'écriture automatique, l'information est transmise par des entités, envoyés à notre cerveau, mais, en quelque sorte en dehors de notre volonté. Puisque la main écrit seule.
Nous ne pouvons empêcher notre cerveau de recevoir des mots, et, là est le danger de "jouer" avec le spiritisme, puisque la FORCE de ses entités agit sur notre cerveau, et, cela peut amener à des dérives, puisque notre cerveau (et nous forcément) somme un peu sous la coupe de cette FORCE d'Energie qui fait faire certaines choses, nous met des images, nous fait parler.

Pourquoi nous donner ces "voyances" ? Puisque normalement, nous devrions pas connaître cet avenir ?

Quelle en est la si "subtile" utilité ?
A ce jour, je n'ai pas encore de réponse.

Le peuple de la mer


Message reçu par Monique Mathieu

Je vois la mer, cette mer que beaucoup d'entre nous aimons tant, cette mer que je ne reconnais plus. Par endroits elle paraît complètement déchaînée. Je vois, naissant spontanément, des vagues gigantesques qui retombent sur les côtes. Ce ne sont pas des tsunamis, ce sont les réactions de l'élément eau.

Je suis maintenant en contact avec cet élément. C'est difficile pour moi. Je suis comme immergée dans l'eau, et cela m'est vraiment désagréable.

« Cela t'est désagréable parce que tu as peur de ce que je suis en tant qu'élément eau. Si tu arrivais à ressentir tout l'Amour que j'ai pour la vie, tu verrais que je ne suis pas … »

« Nuisible »n'est pas le mot qui convient. J'ai du mal à parler parce que j'ai l'impression que je me noie, que je dois respirer dans cette eau. J'entends et je ressens toute la vie et l'énerg vie de l'eau. Je me sens rassurée, je dirai même qu'une petite joie monte en moi, parce que tout le peuple de la mer vient vers moi et me parle. J'entends :

« Vois-tu ces immenses bateaux qui font prisonniers des millions de nos frères qu'ils détruisent d'ailleurs les trois quarts du temps ? Vois-tu ces immenses bateaux qui n'ont aucun respect pour la vie de la mer ? Vois-tu tous ces humains qui ne pensent qu'au profit, qui n'ont aucune conscience que nous sommes la vie ? Vois-tu tous ces humains qui nous détruisent avec une immense inconscience ?

Ce qu'il faut que tu saches, toi qui communiques avec nous, c'est que nous sommes, nous, habitants des abysses, les habitants de l'élément eau, que nous lui sommes absolument nécessaires. Nous échangeons notre Amour avec l'élément eau, avec la mer. Elle a besoin de nous comme nous avons besoin d'elle.

Lorsqu'il n'y aura plus de vie dans les mers, la mer se déchaînera. Elle se déchaînera parce qu'elle souffrira. Vous lui aurez pris tous ses habitants. Elle est heureuse lorsque les gros poissons sautent dans les vagues, elle est heureuse lorsqu'elle sent la vie en elle ! Lorsque vous lui aurez enlevé toute cette vie, lorsque vous l'aurez totalement polluée, elle réagira ; c'est sa souffrance qui la fera réagir, c'est aussi bien évidemment la souffrance de la Mère Terre, parce que tous les éléments, quels qu'ils soient, font partie de la Terre.

Vous méconnaissez totalement le milieu de la mer. Certes vous connaissez la mer en tant qu'élément liquide, mais vous ne la connaissez pas en tant qu'élément énergie. Vous ne savez pas que l'énergie de la mer a une immense puissance. Vous ne respectez pas cet élément tellement important sur la planète Terre !

Le peuple de la mer est en immense souffrance. Il ressent ce qu'il n'a jamais ressenti, il ressent l'énergie de la peur, cette énergie qui est bien évidemment lui est communiquée par les hommes et qui, d'une autre manière, transforme l'énergie de l'élément eau.

Actuellement cet élément à réagir. Toute l'eau que vous recevez sur Terre au-travers des pluies torrentielles vous est envoyée par la mer. Les nuages se forment et se chargent de cette eau qui vous est envoyée par la mer, d'une certaine manière mais avec un réel vouloir.

La Terre se nettoiera de plus en plus jusqu'à ce que vous compreniez l'importance de l'eau. L'eau est la vie. L'eau en vous est la vie . Certains humains l'ont compris, mais ils sont malheureusement en minorité. »

Je me trouve encore une fois plongée dans cet élément qui m'impressionne énormément. J'ai l'impression que l'élément eau m'engloutit complètement, que ma conscience…. Mon corps a du mal à respirer. C'est très curieux comme sensation.

Je ne sais pas où veulent me mener les énergies du monde de la mer. Je traverse maintenant un élément très sombre. Je ne vois plus rien. Je ressens une sensation de lourdeur. Je descends encore. On me fait changer de direction. Je vais maintenant dans un lieu où il y a de plus en plus de lumières. Je ne sais pas d'où elles viennent. J'ai l'impression que tout est totalement irréel .

Je vois un dôme transparent posé au fond de la mer. Il est fait d'une matière que je ne sais pas décrire. Je m'approche de plus en plus à une immense vitesse. Ma conscience se sent légère. Je suis appelée vers ce lieu. Je me trouve maintenant tout près, et je perçois une vie, pas la vie du monde marin, une vie que j'oserais définir comme humaine. Je n'ai jamais vu cela. Sous cet immense dôme, je vois maintenant ce que nous pourrions appeler un vaisseau. L'un d'eux est de forme allongée, d'autres sont semblables à de grosses sphères. Il y a beaucoup de mouvement. Ma conscience est de plus en plus attirée vers l'intérieur, et je ne sais pas si je pourrais pénétrer sous ce dôme. J'ai encore un peu l'impression d'étouffer, parce que je sais que la conscience qui est reliée à mon corps a un petit peu peur.

Je vois maintenant se former une sorte de couloir à l'extérieur de ce dôme qui est vraiment immense. Des êtres viennent. Je me vois « entière », je vois mon corps tel qu'il est dans sa forme physique, je me vois marcher dans l'eau et je ne la ressens pas du tout. Je me vois pénétrer dans ce couloir. Dès que j'ai commencé à pénétrer dans ce couloir, j'ai eu l'impression qu'une porte se refermait derrière moi. Par contre, une magnifique ouverture s'est faite devant moi.

Je vois maintenant beaucoup d'êtres qui sont nos frères de Lumière, et parmi eux il y a des habitants de la Terre. Ils me conduisent dans une pièce. Tout est très transparent, il n'y a pas de murs comme dans nos maisons, tout est visible. Il y a maintenant plusieurs êtres autour de moi. Ils me disent :

« Il y a des veilleurs au-dessus et à l'intérieur de votre Terre, il y a des veilleurs dans vos mers. Il y a plusieurs dômes comme celui-ci répartis sur votre monde.

Nous avons pour mission de surveiller et d'éviter certains problèmes trop importants au niveau de la tectonique des plaques, au niveau des réactions de la surface de la Terre. Nous avons pour mission d'aider l'élément eau, c'est comme si nous le reprogrammions grâce à l'Amour que nous lui envoyons. Nous avons aussi pour mission de stabiliser certaines énergies, car l'élément eau a une immense importance, et après la transition il sera complètement différent dans sa consistance. »

Je ne comprends pas trop ce qu'ils veulent dire par « consistance ». L'eau est toujours de l'eau… Ils me disent :

« Non, l'eau n'a pas toujours la même consistance et la même vibration. Lorsqu'il y a beaucoup de sel dans l'eau, vous flottez beaucoup plus facilement. L'eau contient la vie, donne la vie, et la donnera encore et encore.

Nous sommes également des médecins de la mer. Nous rectifions beaucoup de vos erreurs, et si nous ne l'avions pas fait il y aurait déjà eu énormément de catastrophes sur votre monde. Nous les empêchons parce que le moment n'est pas encore venu.

Nous, les veilleurs « d'en bas », en relation avec les veilleurs « d'en haut » et ceux de l'intérieur de la Terre avons voulu donner le maximum de temps et de chance aux humains, afin qu'ils puissent s'éveiller beaucoup plus vite et que leur conscience s'ouvre beaucoup plus, et nous savons que cela a été profitable et juste.

Dans quelques temps, toutes ces bases se trouvant au plus profond de la mer se libéreront, c'est-à-dire que nous les évacuerons. Le moment de les évacuer n'est pas tout à fait venu, nous les évacuerons lors du grand passage car nous n'aurons plus besoin d'y œuvrer ; en quelque sorte, elles n'existeront plus. Nous les avons créées avec une matière vivante que vous ne pouvez pas appréhender, en accord avec l'élément eau et également avec le monde de la mer.

Tout ce que nous faisons l'est en accord avec la Terre, avec les éléments et aussi avec les guides, les protecteurs de la Terre. »

Je suis toujours sous ce dôme. Je m'y sens beaucoup mieux que dans l'élément eau. J'aimerais le visiter, j'aimerais qu'ils m'expliquent encore et encore, mais pour l'instant ils ne me disent plus rien, ils sourient et me disent :

« Dis à tes frères qu'il faut qu'ils se hâtent à grandir, qu'ils se dépêchent de marcher tout seuls, et surtout, quoi qu'il arrive, dis-leur qu'ils aient confiance. L'énergie et la vibration Amour les guideront pour leurs derniers pas avant la transition.

Tu reviendras nous voir dans quelques temps parce que nous aurons encore des messages à vous donner. Pour l'instant, il faut que tu retournes dans le monde du dessus. Tu vas y retourner en passant par l'élément eau. C'est important pour toi afin que tu dépasses certaines appréhensions que tu as par rapport à cet élément. »

Je suis de nouveau plongée dans cet élément. C'est aussi désagréable pour moi que la première fois. Tout est sombre autour de moi, et j'ai envie de monter très vite vers plus de clarté. Maintenant je suis entourée d'une multitude de poissons, et ils me disent :

« Même si nous ne fonctionnons pas comme les humains, nous avons aussi notre monde avec ses lois. Nous savons aimer, nous évoluons, et même si nous sommes un peu différent du monde « sec » nous sommes vos frères. »

J'entends maintenant comme des sons, comme une musique, et je vois autour de moi des êtres magnifiques un peu lumineux. Ce sont des dauphins. Ils me disent :

« Si les hommes du monde « sec » pouvaient nous comprendre, nous pourrions réaliser tellement de belles choses avec eux. S'ils pouvaient nous aimer comme nous savons aimer, tout serait différent sur cette planète. S'ils pouvaient comprendre ce que nous sommes, c'est-à-dire des êtres conscients qui savent aimer, qui savent penser, et même si nos pensées ne sont pas tout à fait les mêmes que les leurs, s'ils pouvaient comprendre ce que nous sommes, tout changerait sur ce monde.

Tu vas retrouver le monde du dessus, ton monde « sec ». N'oublie pas à quel point le peuple de la mer, qui a une conscience éveillée, aime toute vie. Pourtant vous n'êtes pas tendre avec lui, vous nous considérez, nous les dauphins, comme de vulgaires poissons. C'est votre conscience qui nous perçoit ainsi ! Nous sommes des êtres sensibles et intelligents, nous sommes des êtres qui aimons la beauté et nous savons, à notre manière, créer de la musique, nous réjouir, être parfaitement heureux.

Ils m'accompagnent vers la surface. Il y a encore un petit peu d'eau au-dessus de moi, mais elle ne me fait plus peur, je la supporte sur mon corps. Je me vois sortir de l'eau comme un bouchon.

Je me retourne vers mes frères les dauphins et les poissons, je les remercie et leur dit combien je les aime : « merci pour votre Amour et pour votre indulgence envers les hommes ».

Mes frères de Lumière me disent :

« Si nous avons voulu que notre canal fasse ce voyage dans l'océan, c'est pour vous dire que ce qui se trouve sur votre monde a une immense importance, mais est totalement méconnu des hommes. Ils sont intéressés par ce qui se trouve dans les étoiles, mais ils n'ont aucune conscience de ce qui se trouve réellement sur leur monde, que ce soit à l'intérieur ou au fond des mers. Oh, bien sûr, ils ont conscience de ce qu'ils voient, mais ils ont une conscience très limitée par leur manque d'ouverture spirituelle.

Dans le prochain cycle, tout vivra en harmonie. L'élément eau, que ce soit sous forme de rivière ou de mer, communiquera avec toute vie. Les hommes qui auront passé ce cycle communiqueront par télépathie avec tout ce qui les entoure. C'est pour cette raison que la paix totale règnera et que l'Amour fusionnera entre toutes les espèces, entre toutes les vies.

Le respect total sera dans le cœur des hommes, le respect d'eux-mêmes et celui de la vie. Le respect de la vie est d'ailleurs une des grandes Lois Divines. »

Du ciel à la terre

samedi 15 novembre 2008

Pause


J'ai décidé de faire une pause-blog qui vraisemblablement mènera à le laisser tel qu'il est, sans plus aucun écrit.
Merci à ceux qui m'ont lue, merci à ceux qui ont déposé un mot.

Là où il n'y a plus d’espoir, l'espérance demeure


Découvrez Daniel Balavoine!

L'ombre et la lumière


Du soleil à la lune, dessin inspiré (Iloha, Lughini, Zhylandhia et les autres)


L’ombre et la lumière une ronde infinie
Le soleil se lève
La lune se couche
Interminable ronde pour que la lumière Soit

L’ombre et lumière infatigable ronde
Pour danser dans la complémentarité de ces deux pôles

L’ombre et la lumière pour apprendre
Que la Lumière du cœur est lorsque l’ombre et la lumière se rejoignent
Pour ne former qu’une ronde dansante dans l’éternité d’Amour

Octobre 2008

samedi 8 novembre 2008

Les messages de l'Eau

Masaru Emoto
A l’état de foetus, nous démarrons la vie en étant constitués à 99 % d’eau. A la naissance, nous sommes pour 90 % d’eau et, arrivés à l’age adulte, le pourcentage a baissé à 70%. Si notre vieillesse se prolonge, nous serons probablement tombé à 50 %. En d’autres termes, tout au long de notre vie, notre condition d’existence est essentiellement l’eau. Du point de vue phisique, les humains sont de l’eau. Lorsque je réalisai cela et commençai à contempler le monde à partir de cette nouvelle perspective, je me mis à voir les choses d’une tout autre façon. En premier lieu, je réalise que cette connection avec l’eau s’applique à toute la population. Ce dont je parle s’applique à chacun, tout autour du globe.