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samedi 22 mars 2014
mardi 1 janvier 2013
La belle verte
Pour vous souhaiter une très belle année 2013, année d'une ère nouvelle dans l'Amour et la Fraternité.
Grand cadeau de Coline Serreau, oh combien d'actualité.
Grand cadeau de Coline Serreau, oh combien d'actualité.
dimanche 10 juillet 2011
jeudi 7 avril 2011
Essaim d'abeilles
Un vrombissement très fort me fait tourner la tête vers l’extérieur.
Des milliers d’abeilles cherchent à entrer dans l’oranger en boutons du jardin.
Je suppose que c’est la formation d’un essaim.
Attirées par l’odeur que doivent dégager les boutons de l’oranger.
Que faire ?
Je ferme les fenêtres qui donnent sur le jardin afin que des abeilles ne se perdent pas chez moi.
Les abeilles disparaissent dans l’oranger au fur et à mesure des minutes, je ne vois pas leur regroupement.
Le vrombissement a disparu.
J’arrive à joindre un apiculteur qui, après mes explications me dit que se forme un essaim mais qu’il faut quelques heures pour que les abeilles se regroupent totalement.
Un papillon blanc virevolte au milieu des abeilles, il n'en reste plus que quelques centaines qui volent pour se coller à l’essaim.
Je scrute l’arbre, il y a un point de convergence, j’arrive enfin à voir la grappe formée.
Un autre papillon blanc est là.
L’apiculteur viendra dans la soirée pour prendre l’essaim qu’il mettra dans une nouvelle ruche à la campagne.
Il faut un certain temps entre la formation de l’essaim afin que toutes les abeilles viennent, autrement, enlevé trop tôt, des abeilles se perdraient.
Les fenêtres sont réouvertes, les abeilles se sont stabilisées vers l’essaim.
Plus de deux heures se sont écoulées et des abeilles tournent encore.
Symbole de vie les abeilles, je suis contente qu’une nouvelle ruche se forme bientôt.
lundi 15 février 2010
mardi 9 février 2010
dimanche 27 septembre 2009
vendredi 13 mars 2009
vendredi 6 février 2009
SOLEIL NOIR… SOLEIL D’OR
1-Elle était bleue, elle était verte,
Elle sentait bon la découverte,
Notre Terre !
On la vivait sans y penser
La travaillait sans la blesser…
On l’aurait pu croire éternelle,
C’est vrai, car elle était si belle !
Elle donnait tout ce qu’on aimait,
Elle nourrissait, nous protégeait…
Ma Terre,
Notre Terre !
Refrain
Terre-mère…
Pourquoi ont-ils perdu la tête ?
Pourquoi vont-ils te massacrer ? (bis)
Toi ma planète !
Toi notre mère…
2-Elle assistait les paysans,
Elle transportait les marchands,
Notre Terre !
On y semait le blé doré,
Elle nous donnait le vin ambré…
Le lièvre, l’ourson, la gazelle
Eux-mêmes la trouvaient si belle !
Elle nous offrait le pain, le lait,
Soirs chaleureux et matins frais…
Ma Terre,
Notre Terre !
Notre Terre !
3-Elle berçait les laminaires,
Reproduisait les scorsonères,
Notre Terre !
On visitait ses océans,
Plongeait dans ses gouffres béants,
Pour y rencontrer la murène…
On y parcourait les déserts
À bord du vaisseau dromadaire…
Ma Terre,
Notre Terre !
4- On l’aurait pu croire éternelle,
C’est vrai, car elle était si belle,
Notre Terre !
Mais sont venus les conquérants,
Chercheurs d’or, filets dérivants,
Avides d’anchois, de pétrole !
C’est vrai que nous les aimions tant,
Tes produits si bons, si tentants,
Qu’on t’a refilé… la vérole !
Ma Terre,
Notre Terre !
5-Elle nous donnait le vin ambré…
Aujourd’hui les ceps vont crever…
Sur notre Terre !
Et pour voir l’abeille ouvrière,
Visiter fleur et son nectaire,
Désormais, il nous faut rêver !
Pour oser respirer son air,
Inspirer son flux salutaire,
Il nous faut avancer… masqués !
Ma Terre,
Notre Terre !
6-La maison brûle nous dit-on !
Mais on massacre encore le thon…
Sur notre Terre !
En Chine, en Inde le béton
Coule à pleins flots ; et le coton
Du Mali produit la misère !
Elle nous offrait le pain, le lait…
Elle nous couvre d’un ciel défait…
Ma Terre,
Notre Terre !
(parlé) Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là,
Simple et tranquille* !
Cette terrible
Rumeur-là… vient de la ville !
Qu’as-tu donc fait, toi que voilà…
Pour cet enfer ?
Que de méfaits pour nos ébats…
Sur notre Terre !
Terre qui donnait ce que j’aimais,
Qui nourrissait, me protégeait…
Je n’ai su que te faire la guerre !
C’est un soleil noir qui s’éteint,
Mais un soleil d’or que tu tiens…
Mon frère,
En creux de main, en fond de cœur.
L’espoir est permis en cette heure !
Espoir et courage, pas la peur…
Pour…
Ma Terre,
Notre Terre !
Refrain
Terre-mère…
Ce matin ils perdaient la tête !
Ce soir ils voudront te sauver !
Oui, ce soir on va te sauver !
Je l'espère.
Je l'espère.
Toi ma planète !
Toi notre Terre !
*Paul Verlaine Le ciel est, par-dessus le toit… (Sagesse 1881)
Soleil noir... soleil d'or texte inédit Gilles Laporte, répertoire SACEM
La porte plume
lundi 8 décembre 2008
La tribu des Omos
Aux confins de l'Ethiopie, à des siècles de la modernité, Hans Sylvester a photographié pendant six ans des tribus où hommes, femmes, enfants, vieillards sont des génies d'un art ancestral. Ils ont le génie de la peinture, et leur corps de deux mètres de haut est une immense toile. Ils dessinent mains ouvertes, du bout des ongles, parfois avec un bout de bois, un roseau, une tige écrasée.
Pour pouvoir écouter la musique de cette vidéo, ne pas oublier de mettre sur pause, la musique du blog, en haut à droite.
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samedi 18 octobre 2008
Cailloux-vivants
jeudi 16 octobre 2008
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