samedi 20 décembre 2008

Au nom de l'Amour, comment vous croire ?

La Ronde des Forces, dessin de "Nous", Iloha, Lughini, Zhylandhia

A vous mes sœurs,

Comment vous croire mes sœurs vous qui m’avez tant dit tout au long de mes vies que seul l’Amour sauve ?

Comment vous croire mes sœurs vous qui vous déchirez pour une blessure si vieille ?
Comment vous croire mes sœurs vous qui parlez d’Amour mais ne pouvez entendre mon cri d’incompréhension depuis que vous vous déchirez ?
Comment vous croire mes sœurs vous qui demandez réparation au nom du Dieu Amour ?Comment vous croire mes sœurs vous qui laissez place à l’ombre qui rode et qui se gave de vos déchirures, se nourri de vos blessures, et va passer les fêtes bien au chaud de vos rancœurs d’âmes blessées ?
Comment vous croire mes sœurs, puisque l’Amour déchire encore et encore ?
Comment vous croire mes sœurs, puisque tout ce que vous m’avez murmuré pour me faire comprendre que j’étais dans le noir du non Amour, alors qu’au nom de l’Amour vous vous blessez ?

Comment vous croire mes sœurs si vous pensez que vos âmes sont encore capables de trahison, alors qu’elles ont été lavées par le Feu ?
Ce Feu que j’ai refusé, ce Feu qui lave et donne l’Amour pour ne plus jamais revenir en arrière ? Comment vous croire mes sœurs si vous pensez que l’âme peut revenir sur ses traces, sur ses traîtrises, sur ses vies si noires qu’elle s’en est perdue ?

Comment vous croire et vous suivre mes Sœurs, puisque si, moi Xenahe la traître je veux aller dans le Feu, vous me montrez que cela ne sert à rien et que je pourrais encore vous trahir et vous haïr, au nom de ce même Amour que vous me demandiez ?

Alors, au nom de cet Amour qui vous a réuni, vous trois mes sœurs, cessez de vous déchirer et de vous lancer des armes qui brûlent les cœurs et tuent.
Au nom de cet Amour que vous clamez cessez de cultivez votre colère qui gronde.
Au nom de cet Amour qui vous a Ré-Unies, je vous demande de vous réconciliez pour que l’Amour Soit réellement et ne laisse pas vos cœurs se durcir au nom d’une querelle si vieille, si vieille, qu’il serait temps de la voir et de l’oublier.

Comment croire en l’Amour, moi, Xenahe la noire, si vous qui vous Aimez vous déchirez ?

Si je les croise ces âmes en peine, je leur dirai que l’amour Est malgré les maux de l’âme qui leur promet que nourriture terrestre en ces temps de festivité.

Si je les croise je leur dirai que je vous ai vus vous aimer, que je vous ai vus Unis, au nom de l’Amour.
Si je vous croise je vous dirai qu’au nom de cet Amour, vous devez aller vers ce qui Est et non pas ce qui était.

Au nom de nos vies de toutes celles qui nous ont déchirées, de tout ce que moi, j’ai fait, au nom de ce non Amour que je vous refusais, soyez, vous, dans l’Amour, pour que l’ombre ne gagne pas et qu’en fin nous soyons Ré-Unies dans l’Amour qui nous ai demandé.

Si je les croise Iloha, je ne pourrai qu’être triste de tout ce que je vois, spectatrice déchirée qui ne comprends pas ce que l’Amour et votre Union ont fait de vous, aujourd’hui.
Xenahe/Faldona

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Des âmes qui furent noires,
jaillira l'amour,
car démunies,
elles sauront trouvé
enfin le vrai le chemin

Des âmes noires,
Comme toi
j'en fus enfant
parce que nous fûmes noires
nous tendons à aller vers l'amour

le passé fut
mais n'est plus,
il nous pèse
encore et encore,
essayant de nous maintenir dans l'ancien
mais l'ancien n'est plus
le Renouveau est là
ce qui fut est envolé
en fumée
Dieu dans sa grande mansuétude
Nous a entendu fille de l'eau
car dans la perdition
nous avons essayé de chercher
de ne pas desespérée lorsque tout
semblé perdu,

Vous avez perduré enfant
voici votre récompense.

je t'aime Faldonna,

aujourd'hui je suis simple mortelle, mais remplie d'amour et je signerai comme telle.
Manuéla

Anonyme a dit…

Je replace ici, ce ommentaire reçu hier.
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Bonjour Claudie,

Apparemment tu réagis suite à un texte posté par Iloha...comme tu n'es pas sensé l'ignorer, les mots peuvent traverser toutes les personnes et donner de leur propre vibration selon ce par quoi elles sont elles-mêmes traversées...
Maintenant, d'un texte qui est pour une manière générale, il, elle, le, la, représentant la masse humaine, le rapporter à son propre nombril, n'est qu'une affaire personnelle et non visée déliberément...tes mots sont tristes tout comme tu dois l'être de l'intérieur très certainement.
La Joie se construit, ni passé, ni futur, mais juste dans le présent...
Adieu ancien...Vive le Nouveau !
Il n'y a ni à croire ni à suivre qui que ce soit...les histoires ne sont que pour ceux qui en font...et la paix pour les autres.
Pour les dessins de Nous...veille désormais à ne plus les citer en tant que tels, car ils venaient d'Eux mais aujourd'hui ne le sont plus puisqu'ils sont estampillés d'un Z (non non ce n'est zoro)
Françoise

Envoyé par Francoise à Fille De L'Eau de passage sur terre le samedi 20 décembre 2008 13 h 15 CET

Fille de l'Eau a dit…

Françoise,

Xenahe/Faldona a réagi au texte de Iloha ; bien sûrement Françoise, tu n’es pas Iloha.

Il est des ressentis qui ne peuvent se tairent pour une âme, même si le message est adressé à "la masse humaine", bien ciblée tout de même.

Merci de ne plus venir ici «faire tout un fromage», en y déposant des mots qui ne me concernent pas, qui ne concernent absolument pas les visiteurs du blog ; je ne vais pas polémiquer sur Terambre.

Les dessins de «Nous», restent et resterons «Nous» et sur la charte du site, il est bien écrit qu’il est possible de les utiliser en faisant référence à la source.

Ils venaient d’Eux, oui, et sont toujours d’Eux, quoiqu’ils se soient passés, y compris les textes, venant de vous trois ou d’Eux.

J’ai donc oublié de préciser qu’ils venaient de : http://www.dans-la-lumiere.com/grainsdelumiere/illustrationscarteries.htm
C’est fait.

Fille de l’Eau

Anonyme a dit…

Ne laissant pas la hargne nous envahir!
soyons dans l'amour, en ces période de fêtes.
querelle, toujours querelle, quand nous aurons enfin compris que seul l'amour peut tout résoudre, alors nous aurons fait un grand pas.
Chaque chemin mène à une seule et même source.
pendant que nous regardons la rocaille, nous oublions d'avancer, pourtant il est si simple de se laisser porter.

je vous aime