Vous l’oppresseur, vous le pouvoir, par vos armes vous luttez.
Nous peuples opprimés par le pouvoir nous sommes.
Entendez notre cri, entendez notre marche silencieuse couverte par celles de vos bottes et de vos armes.
Cela ne vous rappelle t’il pas l’envahisseur aux portes de vos villes. Vous avez combattu, vous êtes morts pour garder votre liberté. Tant d’hommes sont morts, sous le joug de ce peuple au nom d’une race.
Nous sommes en perdition, nous mourrons, nous disparaissons, mais, vous en dehors de cet état de dictature, entendez notre cri et au nom de notre liberté, aidez-nous.
Nous n’appelons pas aux armes, aidez-nous par la force de la prière universelle, celle qui desserre les cœurs entravés par les barbelés du pouvoir. Entendez notre appel, joignez vous à nous afin que nous ne disparaissions pas au milieu du chaos des opprimés.
Notre force est la liberté intérieure, celle de notre âme, celle de notre cœur.
1 commentaire:
Merci, chère Claudie, pour ce très, très beau texte, et pour cette invitation pressante à la méditation et à la prière commune, seules sources de toute liberté, seules origines vraies de toute action généreuse et respectueuse.
Très cordialement.
Gilles
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