J'ai écouté, enfin, tenter d'écouter vos chansons.
Gratuite l'écoute, donc, je ne m'en suis pas privée.
Je n'ai pas abusé de cette écoute, je n'ai pu écouter qu'une seule de vos chansons jusqu'à la fin.
Zappé de chanson en chanson soporifique, si je vous avais écoutée tard dans l'avancée de la nuit, cela m'aurait endormie.
Vos rimes sont pauvres, votre voix fatiguée, enrouée. J'ai envie de tousser à votre place pour éclaircir votre voix chuintante.
A l'époque grand tapage autour de votre premier album, un mannequin qui gratouille et écrit, pas commun. Je me suis laissée prendre par une ou deux de vos chansons, mais au fur et à mesure, un endormissement subit me prenait chaque fois que j'entendais votre voix ; épuisantes vos chansons.
Je vous ai rangée et oubliée sans regret.
Camez-vous enfant , je ne ferai pas de péché d'envie, temps perdu ; à la possibilité d'une île (ta tienne), sans déranger les pierres bien sûr, je préfère Sans la nommer, Aux fenêtres de ma vie, écouter d'autres mots avec des voix qui touchent mon coeur, allez, salut marin.